Le porte-parole de Laurent Gbagbo, Affi N’Guessan, exhorte militants, sympathisants et fans de son candidat à ne pas rester les bras croisés. Tous doivent battre campagne et voter massivement pour une victoire éclatante au 1er tour.
Le porte-parole du candidat de La majorité présidentielle, Laurent Gbagbo, Pascal Affi N’Guessan était hier face à la presse. Au sein du quartier général de campagne, le Président du Front populaire ivoirien (Fpi) a encore une fois manifesté sa confiance quant à l’issue des élections. « Il n’y a pas de miracle en politique. L’écart entre Gbagbo et ses adversaires est trop grand pour que ces derniers espèrent gagner le 31 octobre », analyse le porte-parole de Laurent Gbagbo. La victoire de son candidat est une certitude, souligne-t-il. Cependant, ce n’est pas pour autant que ses Directeurs départementaux et locaux de campagne, ses militants et sympathisants vont croiser les bras. Et savourer la victoire au soir du 31 octobre. « Il nous faut nous battre pour gagner au 1er tour. Il ne faut pas vivre de certitudes.
Le Président Gbagbo ne peut pas perdre, mais il faut mobiliser tous ceux qui le soutiennent à aller voter massivement », a averti le Président du Fpi. Il demande prestement à ses Ddc d’envahir le terrain dès aujourd’hui pour battre campagne. Il faut que ceux-ci, poursuit Affi, manifestent la présence de Laurent Gbagbo dans tous les coins de rue de la Côte d’Ivoire. En cette période de campagne, le porte-parole de La majorité présidentielle estime que l’heure de la vérité a sonné. «La vérité c’est que l’histoire des uns rime avec, rébellion, guerre, népotisme, clientélisme, surfacturations, enrichissement illicite, forfaiture et faillite politique, économique et sociale. La vérité, c’est que d’autres n’ont apporté au pays que meurtrissures et dévaluation économique, monétaire, sociale, financière et politique », juge le conférencier. Qui avec des mots à peine voilés, fustige l’air Bédié et Alassane Ouattara. Ces deux hommes politiques, explique Affi N’Guessan, ont gravement appauvri la Côte d’Ivoire. Au contraire du Président Laurent Gbagbo, compare le Président du Fpi. « Avec Gbagbo, le pays a accédé à la liberté et à la démocratie. Avec lui, le pays connait des taux de croissance positifs depuis 2000 (+4% en 2010). Le budget de l’Etat ne fait que progresser (96,22% d’augmentation entre 2001 et 2009). La dette extérieure est passée de plus de 6000 milliards de Fcfa en 2000 à moins de 4000 milliards de Fcfa aujourd’hui», argumente avec force le porte-parole de Gbagbo. Plusieurs grands projets sont en cours de chantier pour le bonheur des Ivoiriens et de la Côte d’Ivoire, insiste-t-il. Ce sont le transfert de la capitale, le projet du Hub pétrolier de l’Afrique de l’Ouest, l’extension du port d’Abidjan, le prolongement de l’autoroute du Nord, le Vitib etc. c’est pourquoi, Gbagbo est le choix de la raison, du progrès et de l’avenir, déduit le conférencier. « Laurent Gbagbo demeure l’ultime bouclier contre les coups portés à la souveraineté et à l’indépendance de notre pays. Les Ivoiriens devront choisir entre la liberté et l’assujettissement. Entre le candidat de la Côte d’Ivoire et les candidats du pacte colonial », a conclu Affi N’Guessan.
Fabrice Tété
Le porte-parole du candidat de La majorité présidentielle, Laurent Gbagbo, Pascal Affi N’Guessan était hier face à la presse. Au sein du quartier général de campagne, le Président du Front populaire ivoirien (Fpi) a encore une fois manifesté sa confiance quant à l’issue des élections. « Il n’y a pas de miracle en politique. L’écart entre Gbagbo et ses adversaires est trop grand pour que ces derniers espèrent gagner le 31 octobre », analyse le porte-parole de Laurent Gbagbo. La victoire de son candidat est une certitude, souligne-t-il. Cependant, ce n’est pas pour autant que ses Directeurs départementaux et locaux de campagne, ses militants et sympathisants vont croiser les bras. Et savourer la victoire au soir du 31 octobre. « Il nous faut nous battre pour gagner au 1er tour. Il ne faut pas vivre de certitudes.
Le Président Gbagbo ne peut pas perdre, mais il faut mobiliser tous ceux qui le soutiennent à aller voter massivement », a averti le Président du Fpi. Il demande prestement à ses Ddc d’envahir le terrain dès aujourd’hui pour battre campagne. Il faut que ceux-ci, poursuit Affi, manifestent la présence de Laurent Gbagbo dans tous les coins de rue de la Côte d’Ivoire. En cette période de campagne, le porte-parole de La majorité présidentielle estime que l’heure de la vérité a sonné. «La vérité c’est que l’histoire des uns rime avec, rébellion, guerre, népotisme, clientélisme, surfacturations, enrichissement illicite, forfaiture et faillite politique, économique et sociale. La vérité, c’est que d’autres n’ont apporté au pays que meurtrissures et dévaluation économique, monétaire, sociale, financière et politique », juge le conférencier. Qui avec des mots à peine voilés, fustige l’air Bédié et Alassane Ouattara. Ces deux hommes politiques, explique Affi N’Guessan, ont gravement appauvri la Côte d’Ivoire. Au contraire du Président Laurent Gbagbo, compare le Président du Fpi. « Avec Gbagbo, le pays a accédé à la liberté et à la démocratie. Avec lui, le pays connait des taux de croissance positifs depuis 2000 (+4% en 2010). Le budget de l’Etat ne fait que progresser (96,22% d’augmentation entre 2001 et 2009). La dette extérieure est passée de plus de 6000 milliards de Fcfa en 2000 à moins de 4000 milliards de Fcfa aujourd’hui», argumente avec force le porte-parole de Gbagbo. Plusieurs grands projets sont en cours de chantier pour le bonheur des Ivoiriens et de la Côte d’Ivoire, insiste-t-il. Ce sont le transfert de la capitale, le projet du Hub pétrolier de l’Afrique de l’Ouest, l’extension du port d’Abidjan, le prolongement de l’autoroute du Nord, le Vitib etc. c’est pourquoi, Gbagbo est le choix de la raison, du progrès et de l’avenir, déduit le conférencier. « Laurent Gbagbo demeure l’ultime bouclier contre les coups portés à la souveraineté et à l’indépendance de notre pays. Les Ivoiriens devront choisir entre la liberté et l’assujettissement. Entre le candidat de la Côte d’Ivoire et les candidats du pacte colonial », a conclu Affi N’Guessan.
Fabrice Tété