ABIDJAN - La mission d'observation électorale de l'Union européenne (UE) pour le scrutin présidentiel prévu le 31 octobre en Côte d'Ivoire a été lancée lundi, a constaté une journaliste de l'AFP.
Les premières équipes - 32 observateurs au total- ont quitté Abidjan lundi pour "évaluer le processus électoral dans son entier" à travers le pays, a indiqué à l'AFP Maria Espinosa, responsable adjointe de la mission.
Soixante-deux observateurs renforceront ces équipes "pendant la semaine des élections pour observer le scrutin, le dépouillement et toutes les étapes menant à l'annonce des résultats officiels", a-t-elle ajouté.
La mission publiera ses "conclusions provisoires deux jours après les élections", a-t-elle annoncé.
La Côte d'Ivoire est entrée en campagne électorale vendredi après dix ans de crise. La tenue de la présidentielle, repoussée depuis 2005, reste toutefois suspendue à d'importants préparatifs, notamment la distribution des cartes d'identité et d'électeur.
Le scrutin est censé clore la crise née en 2002 du putsch manqué de la rébellion des Forces nouvelles (FN), qui a coupé le pays en un sud loyaliste et un nord contrôlé par les FN.
Les premières équipes - 32 observateurs au total- ont quitté Abidjan lundi pour "évaluer le processus électoral dans son entier" à travers le pays, a indiqué à l'AFP Maria Espinosa, responsable adjointe de la mission.
Soixante-deux observateurs renforceront ces équipes "pendant la semaine des élections pour observer le scrutin, le dépouillement et toutes les étapes menant à l'annonce des résultats officiels", a-t-elle ajouté.
La mission publiera ses "conclusions provisoires deux jours après les élections", a-t-elle annoncé.
La Côte d'Ivoire est entrée en campagne électorale vendredi après dix ans de crise. La tenue de la présidentielle, repoussée depuis 2005, reste toutefois suspendue à d'importants préparatifs, notamment la distribution des cartes d'identité et d'électeur.
Le scrutin est censé clore la crise née en 2002 du putsch manqué de la rébellion des Forces nouvelles (FN), qui a coupé le pays en un sud loyaliste et un nord contrôlé par les FN.