Une campagne électorale réussie, c’est celle qui finit par la victoire. C’est indiscutable. En revanche, pour réussir une campagne il faut un bon candidat, un bon programme, une équipe, du porte-à-porte et de la visibilité. A ce niveau, il n’est pas du tout risqué d’avancer que le candidat Alassane Ouattara est au dessus des 13 autres, notamment Laurent Gbagbo. La campagne de celui-ci est brouillonne, sans véritable programme, agressive, en somme laide et ringarde. Somme toute à l’image du candidat et de sa gestion de ces dix ans de pouvoir.
De même, la campagne de Ouattara est à son image. C’est une campagne organisée, structurée, moderne sérieuse et mesurée. Le 15 octobre dernier, lorsqu’il lance sa campagne à Abidjan, les journalistes sont les premiers à tomber sous son charme. Il y avait de la couleur. Le programme est équilibré et touche la Côte d’Ivoire dans tous ses secteurs. La santé, l’emploi, la route, l’école, la moralisation de la vie publique, la bonne gouvernance, etc. Tout y est. Il est chiffré, réaliste et réalisable. De quoi mettre la Côte d’Ivoire sur les rails pour aujourd’hui et demain. Les grands axes de ce programme sont superbement déclinés sur des supports. L’affichage qui avait semblé timide les premières heures progresse de jour en jour. Visible mais sans agressivité. Le candidat Ouattara s’affiche avec la Côte d’Ivoire. De celle qui « se lève tôt » à celle qui se « couche tard ». De son élite à sa plèbe. Avec le même message : j’ai une solution pour chacun d’entre vous. Et sur le terrain, le candidat porte le même message. Avec son véhicule et son avion parés aux couleurs de sa campagne, Alassane Ouattara fait pratiquement du porte-à-porte. Son discours est sans injures et sans haine. Il parle de paix. Il parle de lui, de ce qu’il entend réaliser pour son pays et ses compatriotes pas des autres. Et c’est un discours que le peuple comprend. A preuve, ses meetings sont sans pareil. Il ne faut pas lui faire l’injure de dire qu’il mobilise. Ce n’est pas d’aujourd’hui. Avouons tout de même que c’est extraordinaire. De Yamoussoukro à Abobo le monde l’étouffe pratiquement. Et ce n’est pas fini. Il va falloir voir Gagnoa, Daloa, Man, etc. Il s’agit sans conteste d’une campagne qui va… sans doute jusqu’au palais Présidentiel, au soir du 31 octobre.
KIGBAFORY Inza
De même, la campagne de Ouattara est à son image. C’est une campagne organisée, structurée, moderne sérieuse et mesurée. Le 15 octobre dernier, lorsqu’il lance sa campagne à Abidjan, les journalistes sont les premiers à tomber sous son charme. Il y avait de la couleur. Le programme est équilibré et touche la Côte d’Ivoire dans tous ses secteurs. La santé, l’emploi, la route, l’école, la moralisation de la vie publique, la bonne gouvernance, etc. Tout y est. Il est chiffré, réaliste et réalisable. De quoi mettre la Côte d’Ivoire sur les rails pour aujourd’hui et demain. Les grands axes de ce programme sont superbement déclinés sur des supports. L’affichage qui avait semblé timide les premières heures progresse de jour en jour. Visible mais sans agressivité. Le candidat Ouattara s’affiche avec la Côte d’Ivoire. De celle qui « se lève tôt » à celle qui se « couche tard ». De son élite à sa plèbe. Avec le même message : j’ai une solution pour chacun d’entre vous. Et sur le terrain, le candidat porte le même message. Avec son véhicule et son avion parés aux couleurs de sa campagne, Alassane Ouattara fait pratiquement du porte-à-porte. Son discours est sans injures et sans haine. Il parle de paix. Il parle de lui, de ce qu’il entend réaliser pour son pays et ses compatriotes pas des autres. Et c’est un discours que le peuple comprend. A preuve, ses meetings sont sans pareil. Il ne faut pas lui faire l’injure de dire qu’il mobilise. Ce n’est pas d’aujourd’hui. Avouons tout de même que c’est extraordinaire. De Yamoussoukro à Abobo le monde l’étouffe pratiquement. Et ce n’est pas fini. Il va falloir voir Gagnoa, Daloa, Man, etc. Il s’agit sans conteste d’une campagne qui va… sans doute jusqu’au palais Présidentiel, au soir du 31 octobre.
KIGBAFORY Inza