La 1ère-vice présidente du parti ivoirien des travailleurs (PIT) Angèle Gnonsoa a reçu la presse nationale le jeudi 21 octobre 2010 à sa résidence à la Riviera Golf pour présenter le bilan des différentes tournées organisées par le premier responsable du Pit.
Le parti ivoirien des travailleurs estime que le vote doit s’effectuer dans le calme et dans la paix. Ce, pour permettre a tous les ivoiriens de choisir librement le futur président de la République de Côte d’Ivoire. Pour elle, la tension n’est pas à l’apaisement dans les différents états-majors. « Si quelqu’un ne cherche pas à s’imposer il y aura un second tour. Si ce n’est pas par la violence, il y aura un second tour et ce scrutin va réserver des surprises », a dit Angèle Gnonsoa. Selon la 1ère-vice présidente du Pit, il faut se départir des comportements qui incitent à la violence et à l’agressivité pour éviter que le désordre ne s’installe en Côte d’Ivoire. Se prononçant sur la gestion de l’administration du président Laurent Gbagbo, elle a déclaré que « Le pouvoir a encouragé l’enrichissement illicite. Les jeunes qui sont aujourd’hui admirés ne sont pas des poches des moralités. Aujourd’hui celui qui n’a pas passé d’examen est présenté comme un model. Nous ne comprenons pas comment des gens qui n’ont jamais payé une moindre facture puissent du jour au lendemain devenir des bienfaiteurs», s’est-elle offusquée. Elle a déploré le fait que la moralité ne soit pas la chose la mieux partagée au plan social. « Il faut que la moralité fasse son entrée parmi tous ceux qui sont dans les instances de décisions», a-t-elle prôné. Non sans promettre de mettre la Côte d’Ivoire au travail dès la réélection du candidat Francis Wanga Wodié à la magistrature suprême. « Il est nécessaire de former des hommes de qualité pour diriger les destinés de la Côte d’Ivoire. Nous pensons que le sous développement n’est pas une tare mais il est plutôt dû au fait que nous refusons de penser par soi même, faire son autocritique et chercher des solutions », s’est exprimé la première collaboratrice du candidat Wodié. Aussi elle a soutenu que la jeunesse a dérapé depuis 8 ans et que la moitié de la Côte d’Ivoire n’a pas accès à l’école. L’enseignante chercheuse a indiqué en outre qu’il est obligatoire de changer de mentalité pour susciter une génération responsable attachée au travail. A l’en croire, le Pit est un parti constant, qui estime que la concertation nationale est fondamentale pour ramener la paix pour penser les rancœurs qui fulminent chez les trois grands candidats. « Gbagbo a une rancœur parce qu’on ne la pas laisser diriger, quant à Bédié il a fuit le pays avec un passeport togolais. Pour sa part, Ado est traité d’étranger. C’est par la concertation nationale que ces rancœurs doivent être pardonnées», a-t-elle justifié.
JMT
Le parti ivoirien des travailleurs estime que le vote doit s’effectuer dans le calme et dans la paix. Ce, pour permettre a tous les ivoiriens de choisir librement le futur président de la République de Côte d’Ivoire. Pour elle, la tension n’est pas à l’apaisement dans les différents états-majors. « Si quelqu’un ne cherche pas à s’imposer il y aura un second tour. Si ce n’est pas par la violence, il y aura un second tour et ce scrutin va réserver des surprises », a dit Angèle Gnonsoa. Selon la 1ère-vice présidente du Pit, il faut se départir des comportements qui incitent à la violence et à l’agressivité pour éviter que le désordre ne s’installe en Côte d’Ivoire. Se prononçant sur la gestion de l’administration du président Laurent Gbagbo, elle a déclaré que « Le pouvoir a encouragé l’enrichissement illicite. Les jeunes qui sont aujourd’hui admirés ne sont pas des poches des moralités. Aujourd’hui celui qui n’a pas passé d’examen est présenté comme un model. Nous ne comprenons pas comment des gens qui n’ont jamais payé une moindre facture puissent du jour au lendemain devenir des bienfaiteurs», s’est-elle offusquée. Elle a déploré le fait que la moralité ne soit pas la chose la mieux partagée au plan social. « Il faut que la moralité fasse son entrée parmi tous ceux qui sont dans les instances de décisions», a-t-elle prôné. Non sans promettre de mettre la Côte d’Ivoire au travail dès la réélection du candidat Francis Wanga Wodié à la magistrature suprême. « Il est nécessaire de former des hommes de qualité pour diriger les destinés de la Côte d’Ivoire. Nous pensons que le sous développement n’est pas une tare mais il est plutôt dû au fait que nous refusons de penser par soi même, faire son autocritique et chercher des solutions », s’est exprimé la première collaboratrice du candidat Wodié. Aussi elle a soutenu que la jeunesse a dérapé depuis 8 ans et que la moitié de la Côte d’Ivoire n’a pas accès à l’école. L’enseignante chercheuse a indiqué en outre qu’il est obligatoire de changer de mentalité pour susciter une génération responsable attachée au travail. A l’en croire, le Pit est un parti constant, qui estime que la concertation nationale est fondamentale pour ramener la paix pour penser les rancœurs qui fulminent chez les trois grands candidats. « Gbagbo a une rancœur parce qu’on ne la pas laisser diriger, quant à Bédié il a fuit le pays avec un passeport togolais. Pour sa part, Ado est traité d’étranger. C’est par la concertation nationale que ces rancœurs doivent être pardonnées», a-t-elle justifié.
JMT