Indéniablement, le scrutin présidentiel du 31 octobre 2010 constitue un tournant histoirque de la marche de la Côte d’Ivoire. Cependant, cette élection tant attendue par les concitoyens et qui devrait apporter défintivement la paix, la stabilité et le développement risque d’être entravée par la mainmise des pontes du Fpi sur les Forces de défense et de sécurité (FDS). Pour cela, la vigilance doit être de mise afin de faire obstacle aux basses manœuvres des refondateurs.
A quelques jours seulement de l’élection présidentielle, la question sécuritaire ne semble toujours pas avoir été évacuée. C’est vrai que d’aucuns avaient parlé de la présence des éléments du Centre de Commandement Intégré (C.C.I) et celle des Forces impartiales, notamment l’Onuci, la réalité est que les Forces de Défense et de Sécurité (FDS) auront aussi un rôle déterminant à jouer. Tout comme lors de l’enrôlement et de l’identification des populations, elles auront encore en charge de sécuriser le scrutin du 31 octobre 2010. Or, tout le monde sait que cette entité est toujours aux mains des séides du pouvoir. La gendermerie, la marine nationale et l’armée sont dirigées de main de maître par Amani N’Guessan Michel, un militant indécrottable du Fpi. De même que la police nationale est toujours administrée par un non moins actif militant de ce parti. Cette situation inquiète sérieusement les compatriotes eu égard à l’activisme dont font quotidiennement preuve ces deux « caciques » de la refondation. Surtout que dans un passé récent, les FDS censées être républicaines, ne se sont pas embrassées d’oripeaux pour apporter un soutien inconditionnel à Laurent Gbagbo. D’ailleurs, à maintes reprises, le chef d’Etat-major des armées (CEMA), Philippe Mangou n’a pas caché sa volonté inébranlable de soutenir Laurent Gbagbo. A telle enseigne que dans l’imagérie populaire, d’aucuns, avec un brin d’ironie, ont vite fait d’affirmer que le CEMA est devenu un directeur de campagne du candidat Laurent Gbagbo. En réalité, Mangou et les FDS n’ont jamais caché leur aversion pour l’opposition politique, notamment le RHDP. Et ce soutien oeucuménique au régime Fpi, les Forces de Défense et de Sécurité l’ont plusieurs fois réaffirmé sans risque de représailles. C’est pourquoi, l’inquiétude gagne du terrain, à mesure qu’on s’approche de la date de vérité. Car, aussi longtemps que les Forces de l’ordre commises à la sécurisation du scrutin seront aux mains des lycaons du pouvoir, le spectre de la violence et de la perturbation du scrutin planera toujours sur le 31 octobre 2010. Surtout que Laurent Gbagbo, bien que se disant « enfant des élections », est toujours enclin à des sordides manœuvres de confiscation du pouvoir. Et tout le monde sait que, s’il a enfin accepté d’aller aux élections, c’est moins par soucis de péréniser le jeu démocratique que par une haute pression de la communauté nationale et internatonale. A la vérité, Gabgbo est contraint d’aller aux urnes tout simplement parce qu’il a désormais le dos au mur et n’a plus d’échappatoire possible. Or, un tel candidat est forcément dangereux et pourrait opter pour l’instrumentalisation de l’armée dans le but de s’éterniser au sommet de l’Etat. C’est donc dire que la menace est réelle vu que Tagro et Amani sont les obligés du candidat du camp présidentiel. En tout cas, leur activisme pour le compte de leur mentor et du Fpi laisse croire que la sécurisation du scutin du 31 octobre 2010 pourrait être menacée. Dès lors, les Ivoiriens et la communauté internationale ont l’impérieux devoir de rester très vigilants.
J.J
A quelques jours seulement de l’élection présidentielle, la question sécuritaire ne semble toujours pas avoir été évacuée. C’est vrai que d’aucuns avaient parlé de la présence des éléments du Centre de Commandement Intégré (C.C.I) et celle des Forces impartiales, notamment l’Onuci, la réalité est que les Forces de Défense et de Sécurité (FDS) auront aussi un rôle déterminant à jouer. Tout comme lors de l’enrôlement et de l’identification des populations, elles auront encore en charge de sécuriser le scrutin du 31 octobre 2010. Or, tout le monde sait que cette entité est toujours aux mains des séides du pouvoir. La gendermerie, la marine nationale et l’armée sont dirigées de main de maître par Amani N’Guessan Michel, un militant indécrottable du Fpi. De même que la police nationale est toujours administrée par un non moins actif militant de ce parti. Cette situation inquiète sérieusement les compatriotes eu égard à l’activisme dont font quotidiennement preuve ces deux « caciques » de la refondation. Surtout que dans un passé récent, les FDS censées être républicaines, ne se sont pas embrassées d’oripeaux pour apporter un soutien inconditionnel à Laurent Gbagbo. D’ailleurs, à maintes reprises, le chef d’Etat-major des armées (CEMA), Philippe Mangou n’a pas caché sa volonté inébranlable de soutenir Laurent Gbagbo. A telle enseigne que dans l’imagérie populaire, d’aucuns, avec un brin d’ironie, ont vite fait d’affirmer que le CEMA est devenu un directeur de campagne du candidat Laurent Gbagbo. En réalité, Mangou et les FDS n’ont jamais caché leur aversion pour l’opposition politique, notamment le RHDP. Et ce soutien oeucuménique au régime Fpi, les Forces de Défense et de Sécurité l’ont plusieurs fois réaffirmé sans risque de représailles. C’est pourquoi, l’inquiétude gagne du terrain, à mesure qu’on s’approche de la date de vérité. Car, aussi longtemps que les Forces de l’ordre commises à la sécurisation du scrutin seront aux mains des lycaons du pouvoir, le spectre de la violence et de la perturbation du scrutin planera toujours sur le 31 octobre 2010. Surtout que Laurent Gbagbo, bien que se disant « enfant des élections », est toujours enclin à des sordides manœuvres de confiscation du pouvoir. Et tout le monde sait que, s’il a enfin accepté d’aller aux élections, c’est moins par soucis de péréniser le jeu démocratique que par une haute pression de la communauté nationale et internatonale. A la vérité, Gabgbo est contraint d’aller aux urnes tout simplement parce qu’il a désormais le dos au mur et n’a plus d’échappatoire possible. Or, un tel candidat est forcément dangereux et pourrait opter pour l’instrumentalisation de l’armée dans le but de s’éterniser au sommet de l’Etat. C’est donc dire que la menace est réelle vu que Tagro et Amani sont les obligés du candidat du camp présidentiel. En tout cas, leur activisme pour le compte de leur mentor et du Fpi laisse croire que la sécurisation du scutin du 31 octobre 2010 pourrait être menacée. Dès lors, les Ivoiriens et la communauté internationale ont l’impérieux devoir de rester très vigilants.
J.J