La diaspora ivoirienne du Canada, principalement les pétitionnaires enrôlés à Montréal, ne sont pas au bout de leurs peines. La distribution des cartes d’électeurs et d’identité, tant attendu, n’a pu avoir lieu cette dernière fin de semaine avant le 31 octobre. Et quand on sait que comparativement à Ottawa, la ville de Montréal est celle qui a enrôlés plus de pétitionnaires, voire 85%, il y a lieu de s’inquiéter.
En effet L’Ambassadeur Louis Bony, sans avoir au préalable obtenu un permis du Ministères des Affaires Extérieures et du Commerce l’autorisant à organiser les élections et distribuer les cartes d’électeurs, en dehors de l’Ambassade a ordonné à ses collaborateurs de faire passer sur leur site internet, des informations relatives à la distribution des cartes d’électeurs et d’identité, à Ottawa et Montréal.
La GRC (gendarmerie royale du Canada), des fins limiers en matière d’enquêtes et de surveillance électronique, ont intercepté le message et sommé, le chef de la Chancellerie ivoirienne de le retirer immédiatement, et de se mettre en conformité avec les règlements du pays avant d’aller de l’avant. Ainsi, les instructions données par la CEI-Centrale, relatives à la distribution des cartes à Montréal cette fin de semaine, n’ont être respectées. Résultats, tous les pétitionnaires du Canada, ne peuvent retirer leurs qu’à Ottawa pour le moment.
En effet, le Canada étant un pays réglementé, organiser des élections présidentielles surtout de sortie de crise, en dehors de l’Ambassade sans avoir même au préalable informé officiellement le Ministère des affaires extérieures et du commerce et obtenu une autorisation, est une maladresse qui peut avoir des répercussions néfastes sur l’image et la crédibilité de la Côte d’ivoire déjà entachée par la guerre qui a endeuillée le pays.
En colère plusieurs ivoiriens ont décidé de faire une pétition pour dénoncer ce grave incident qu’ils attribuent à une incompétence notoire de l’Ambassadeur Louis Bony.
Les ivoiriens, doivent eux aussi désormais savoir qu’au pays de l’érable, certains mots comme l’emblème, le nom du pays, de villes, des politiciens, des ministères, de la famille royale d’Angleterre, en fait tout ce qui a rapport avec le Canada ne peuvent être lancés sur l’internet sans être interceptés par la GRC.
Espérons que la permission sera obtenue à tant afin de permettre la distribution des cartes et du vote historique des ivoiriens à Montréal.
Nathalie Zemgbo Djiezion, Ottawa
En effet L’Ambassadeur Louis Bony, sans avoir au préalable obtenu un permis du Ministères des Affaires Extérieures et du Commerce l’autorisant à organiser les élections et distribuer les cartes d’électeurs, en dehors de l’Ambassade a ordonné à ses collaborateurs de faire passer sur leur site internet, des informations relatives à la distribution des cartes d’électeurs et d’identité, à Ottawa et Montréal.
La GRC (gendarmerie royale du Canada), des fins limiers en matière d’enquêtes et de surveillance électronique, ont intercepté le message et sommé, le chef de la Chancellerie ivoirienne de le retirer immédiatement, et de se mettre en conformité avec les règlements du pays avant d’aller de l’avant. Ainsi, les instructions données par la CEI-Centrale, relatives à la distribution des cartes à Montréal cette fin de semaine, n’ont être respectées. Résultats, tous les pétitionnaires du Canada, ne peuvent retirer leurs qu’à Ottawa pour le moment.
En effet, le Canada étant un pays réglementé, organiser des élections présidentielles surtout de sortie de crise, en dehors de l’Ambassade sans avoir même au préalable informé officiellement le Ministère des affaires extérieures et du commerce et obtenu une autorisation, est une maladresse qui peut avoir des répercussions néfastes sur l’image et la crédibilité de la Côte d’ivoire déjà entachée par la guerre qui a endeuillée le pays.
En colère plusieurs ivoiriens ont décidé de faire une pétition pour dénoncer ce grave incident qu’ils attribuent à une incompétence notoire de l’Ambassadeur Louis Bony.
Les ivoiriens, doivent eux aussi désormais savoir qu’au pays de l’érable, certains mots comme l’emblème, le nom du pays, de villes, des politiciens, des ministères, de la famille royale d’Angleterre, en fait tout ce qui a rapport avec le Canada ne peuvent être lancés sur l’internet sans être interceptés par la GRC.
Espérons que la permission sera obtenue à tant afin de permettre la distribution des cartes et du vote historique des ivoiriens à Montréal.
Nathalie Zemgbo Djiezion, Ottawa