ABIDJAN - Les forces armées loyalistes ivoiriennes ont fermement mis en garde mercredi "les éventuels fauteurs de troubles", à quelques jours du scrutin présidentiel de dimanche censé clore une décennie de crise politico-militaire.
Les Forces de défense et de sécurité (FDS) mettent "sévèrement en garde les éventuels fauteurs de troubles et leurs commanditaires en cette période cruciale et sensible de l`histoire de la Côte d`Ivoire", a déclaré à Abidjan leur chef d`état-major, le général Philipe Mangou.
Dénonçant des actes de "violence" de "certains militants de partis politiques", il a cité, sans précision, des cas d`affiches électorales "détruites" et des "menaces" contre des militants.
"Les abonnés aux troubles et à la violence" ne pourront "fuir le pays après y avoir mis le feu" à l`occasion de l`élection car "les frontières seront fermées", a-t-il averti.
Les FDS, "déterminées à garantir leur sécurité", "invitent les populations à aller voter massivement sans crainte de représailles ni de menaces d`atteinte à leur intégrité physique", a ajouté le général Mangou.
Sans cesse repoussée depuis la fin du mandat du président Laurent Gbagbo en 2005, l`élection est censée clore la crise née du putsch raté de 2002 de l`ex-rébellion des Forces nouvelles (FN). Le pays est depuis lors coupé en un sud loyaliste et un nord aux mains des FN.
Les Forces de défense et de sécurité (FDS) mettent "sévèrement en garde les éventuels fauteurs de troubles et leurs commanditaires en cette période cruciale et sensible de l`histoire de la Côte d`Ivoire", a déclaré à Abidjan leur chef d`état-major, le général Philipe Mangou.
Dénonçant des actes de "violence" de "certains militants de partis politiques", il a cité, sans précision, des cas d`affiches électorales "détruites" et des "menaces" contre des militants.
"Les abonnés aux troubles et à la violence" ne pourront "fuir le pays après y avoir mis le feu" à l`occasion de l`élection car "les frontières seront fermées", a-t-il averti.
Les FDS, "déterminées à garantir leur sécurité", "invitent les populations à aller voter massivement sans crainte de représailles ni de menaces d`atteinte à leur intégrité physique", a ajouté le général Mangou.
Sans cesse repoussée depuis la fin du mandat du président Laurent Gbagbo en 2005, l`élection est censée clore la crise née du putsch raté de 2002 de l`ex-rébellion des Forces nouvelles (FN). Le pays est depuis lors coupé en un sud loyaliste et un nord aux mains des FN.