A moins d'une semaine du premier scrutin présidentiel en Côte d'Ivoire depuis dix ans, l'armée et les anciens rebelles n'ont déployé qu'une petite partie des 8.000 hommes de leur force mixte pour assurer le bon déroulement du vote, dimanche.
"Nous estimons que 8.000 hommes sont nécessaires pour assurer la sécurité de cette élection. Je ne peux avancer de chiffre exact, mais nous en avons déployé jusqu'à présent quelque 1.500", a déclaré mercredi aux journalistes le chef d'état-major de l'armée, le général Philippe Mangou.
Il a toutefois souligné qu'il restait encore deux jours pour procéder au déploiement prévu et que les forces de sécurité avaient pris les mesures pour s'assurer que les opérations de vote se dérouleront sans incident.
Maintes fois reporté depuis cinq ans, le scrutin de dimanche, censé mettre un terme à la partition de facto du pays consécutive au coup d'Etat manqué de 2002 contre Laurent Gbagbo, opposera le chef de l'Etat sortant à ses deux principaux opposants, l'ancien président Henri Konan Bédié et l'ex-Premier ministre Alassane Ouattara.
Outre la force mixte composée de l'armée régulière et d'anciens rebelles, 8.000 casques bleus de l'Onu seront également présents sur le terrain, de même qu'un contingent de quelques centaines de militaires français prêt à réagir en cas de troubles graves.
Mais les préparatifs du scrutin se sont déroulés jusqu'à présent dans un calme relatif en dépit de quelques heurts ce week-end entre partisans des divers candidats.
"A l'approche de la date du 31 octobre, certains activistes politiques ont été saisis par la violence. Les forces de sécurité les informent que des mesures ont été prises pour que les électeurs votent hors de toute menace physique", a déclaré le général Mangou.
"Les forces de sécurité ivoiriennes mettent en garde ceux qui choisissent les troubles et la violence contre toute tentative pour fuir le pays. Les frontières et l'aéroport seront fermés", a-t-il ajouté.
Le scrutin de dimanche s'annonce comme serré, même si on s'attend à ce que Laurent Ggagbo arrive en tête du premier tour.
"Nous estimons que 8.000 hommes sont nécessaires pour assurer la sécurité de cette élection. Je ne peux avancer de chiffre exact, mais nous en avons déployé jusqu'à présent quelque 1.500", a déclaré mercredi aux journalistes le chef d'état-major de l'armée, le général Philippe Mangou.
Il a toutefois souligné qu'il restait encore deux jours pour procéder au déploiement prévu et que les forces de sécurité avaient pris les mesures pour s'assurer que les opérations de vote se dérouleront sans incident.
Maintes fois reporté depuis cinq ans, le scrutin de dimanche, censé mettre un terme à la partition de facto du pays consécutive au coup d'Etat manqué de 2002 contre Laurent Gbagbo, opposera le chef de l'Etat sortant à ses deux principaux opposants, l'ancien président Henri Konan Bédié et l'ex-Premier ministre Alassane Ouattara.
Outre la force mixte composée de l'armée régulière et d'anciens rebelles, 8.000 casques bleus de l'Onu seront également présents sur le terrain, de même qu'un contingent de quelques centaines de militaires français prêt à réagir en cas de troubles graves.
Mais les préparatifs du scrutin se sont déroulés jusqu'à présent dans un calme relatif en dépit de quelques heurts ce week-end entre partisans des divers candidats.
"A l'approche de la date du 31 octobre, certains activistes politiques ont été saisis par la violence. Les forces de sécurité les informent que des mesures ont été prises pour que les électeurs votent hors de toute menace physique", a déclaré le général Mangou.
"Les forces de sécurité ivoiriennes mettent en garde ceux qui choisissent les troubles et la violence contre toute tentative pour fuir le pays. Les frontières et l'aéroport seront fermés", a-t-il ajouté.
Le scrutin de dimanche s'annonce comme serré, même si on s'attend à ce que Laurent Ggagbo arrive en tête du premier tour.