Gbagbo, le candidat des déchets toxiques, du charnier, du délestage, de la guerre, face à Bédié, le candidat de la centrale d’Azito, des routes, des écoles, des centres de santé, de la paix…
On ne le dira jamais assez, les candidats en course pour le palais présidentiel doivent faire passer leur bilan au scanner du peuple. Si l’on met dans la balance les bilans des candidats Bédié et Gbagbo, on conclura, comme l’homme de la rue que, ‘’ y a pas match’’. Le président Henri Konan Bédié est au- dessus de la mêlée. Et là-dessus, les Ivoiriens sont unanimes. Les deux mandats de Gbagbo (même s’il revendique seulement deux ans) furent très désastreux. Contrairement au règne de six ans de Bédié, riche en réalisations et en actions de développement. Un inventaire de ces deux bilans nous situera mieux. Sous Gbagbo, la Côte d’Ivoire a connu une véritable traversée de désert. Tous les signaux ont viré au rouge. Les Ivoiriens ont connu les pires pages de leur histoire. Il sera inscrit au panthéon, qu’au lendemain de la prise de pouvoir par Gbagbo, un charnier fut découvert à Abidjan. Cette note deviendra plus salée quand, sous ce même règne, en septembre 2002, la plus grave crise frappe la terre de paix. La guerre politico-militaire qui coupe le pays en deux. Le massacre des militants de l’opposition en mars 2004 s’y ajoute. Que dire du délestage qui a plongé tout le pays dans l’obscurité totale durant des mois. Le comble fut le déversement des déchets toxiques qui ont occasionné plusieurs morts. Les effets de ce produit hautement nocif vont, selon les experts, agir sur des générations. Ainsi, peut –on résumer le passage du candidat de la mouvance présidentielle à la tête de la nation. C’est avec ce lourd passif que le champion de la refondation veut encore briguer un autre mandat. Pourra-t-il avoir à nouveau la confiance de ce peuple meurtri par dix ans de crise ? Que pourrait-on attendre encore de ce pouvoir défaillant ? Certainement rien. A contrario, le bilan reluisant du président Bédié parle. Construction de la centrale d’Azito, bitumage du réseau routier, construction des amphithéâtres, des centres de santé, d’écoles, les fonds sociaux, les plantations clé en main etc., sont, entre autres, les faits qui militent largement en faveur du candidat du Pdci. On n’a pas à se creuser les méninges pour savoir qui des deux, le peuple ivoirien devenu désormais lucide, élira. Entre le candidat des déchets toxiques, du délestage… et le candidat du développement et de la paix, le choix est vite fait, et c’est ce qui va être traduit dans les urnes dimanche prochain.
Bakassien
On ne le dira jamais assez, les candidats en course pour le palais présidentiel doivent faire passer leur bilan au scanner du peuple. Si l’on met dans la balance les bilans des candidats Bédié et Gbagbo, on conclura, comme l’homme de la rue que, ‘’ y a pas match’’. Le président Henri Konan Bédié est au- dessus de la mêlée. Et là-dessus, les Ivoiriens sont unanimes. Les deux mandats de Gbagbo (même s’il revendique seulement deux ans) furent très désastreux. Contrairement au règne de six ans de Bédié, riche en réalisations et en actions de développement. Un inventaire de ces deux bilans nous situera mieux. Sous Gbagbo, la Côte d’Ivoire a connu une véritable traversée de désert. Tous les signaux ont viré au rouge. Les Ivoiriens ont connu les pires pages de leur histoire. Il sera inscrit au panthéon, qu’au lendemain de la prise de pouvoir par Gbagbo, un charnier fut découvert à Abidjan. Cette note deviendra plus salée quand, sous ce même règne, en septembre 2002, la plus grave crise frappe la terre de paix. La guerre politico-militaire qui coupe le pays en deux. Le massacre des militants de l’opposition en mars 2004 s’y ajoute. Que dire du délestage qui a plongé tout le pays dans l’obscurité totale durant des mois. Le comble fut le déversement des déchets toxiques qui ont occasionné plusieurs morts. Les effets de ce produit hautement nocif vont, selon les experts, agir sur des générations. Ainsi, peut –on résumer le passage du candidat de la mouvance présidentielle à la tête de la nation. C’est avec ce lourd passif que le champion de la refondation veut encore briguer un autre mandat. Pourra-t-il avoir à nouveau la confiance de ce peuple meurtri par dix ans de crise ? Que pourrait-on attendre encore de ce pouvoir défaillant ? Certainement rien. A contrario, le bilan reluisant du président Bédié parle. Construction de la centrale d’Azito, bitumage du réseau routier, construction des amphithéâtres, des centres de santé, d’écoles, les fonds sociaux, les plantations clé en main etc., sont, entre autres, les faits qui militent largement en faveur du candidat du Pdci. On n’a pas à se creuser les méninges pour savoir qui des deux, le peuple ivoirien devenu désormais lucide, élira. Entre le candidat des déchets toxiques, du délestage… et le candidat du développement et de la paix, le choix est vite fait, et c’est ce qui va être traduit dans les urnes dimanche prochain.
Bakassien