Le Premier ministre ivoirien Guillaume Soro a appelé mardi la commission électorale à proclamer "le plus rapidement possible" des résultats partiels de la présidentielle de dimanche, alors que la quasi-absence de données a laissé le champ libre aux rumeurs.
La Commission électorale indépendante (CEI) "doit procéder à la proclamation des résultats au fur et à mesure de la transmission des procès-verbaux" du vote de l`intérieur du pays jusqu`à Abidjan, a affirmé à la presse M. Soro, insistant sur l`"attente" des Ivoiriens.
"On ne peut attendre" l`arrivée du dernier procès-verbal "pour proclamer les résultats", a-t-il estimé, après des rencontres avec le corps diplomatique et des responsables religieux.
Chef de l`ex-rébellion des Forces nouvelles (FN) qui tient le nord ivoirien depuis le putsch raté de 2002, M. Soro a souhaité que les candidats appellent leurs électeurs à rester "tranquilles et sereins".
Il a enfin demandé de "mettre de côté toutes (les) rumeurs" qui circulent actuellement sur les "tendances" du scrutin.
La quasi-absence de résultats partiels depuis dimanche soir a laissé le champ libre aux rumeurs les plus contradictoires et fait monter la tension, alors que nombre d`Ivoiriens redoutaient des violences en cas de contestation des résultats.
La Commission électorale indépendante (CEI) "doit procéder à la proclamation des résultats au fur et à mesure de la transmission des procès-verbaux" du vote de l`intérieur du pays jusqu`à Abidjan, a affirmé à la presse M. Soro, insistant sur l`"attente" des Ivoiriens.
"On ne peut attendre" l`arrivée du dernier procès-verbal "pour proclamer les résultats", a-t-il estimé, après des rencontres avec le corps diplomatique et des responsables religieux.
Chef de l`ex-rébellion des Forces nouvelles (FN) qui tient le nord ivoirien depuis le putsch raté de 2002, M. Soro a souhaité que les candidats appellent leurs électeurs à rester "tranquilles et sereins".
Il a enfin demandé de "mettre de côté toutes (les) rumeurs" qui circulent actuellement sur les "tendances" du scrutin.
La quasi-absence de résultats partiels depuis dimanche soir a laissé le champ libre aux rumeurs les plus contradictoires et fait monter la tension, alors que nombre d`Ivoiriens redoutaient des violences en cas de contestation des résultats.