ABIDJAN - L`armée ivoirienne a appelé mardi "au calme et à la sérénité" dans l`attente des résultats de la présidentielle de dimanche, dénonçant les "rumeurs" qui "courent la ville" d`Abidjan.
"Nous devons tous garder notre calme et notre sérénité pour attendre les
résultats" qui doivent être communiqués par la Commission électorale
indépendante (CEI), a déclaré sur la télévision publique le chef d`état-major,
le général Philippe Mangou.
"Depuis hier (lundi), toutes les rues (d`Abidjan) sont désertes, les
véhicules ont arrêté de circuler", a-t-il déploré, observant que "des SMS
fusent de partout, des rumeurs courent la ville".
Dans les principales villes du pays, "la situation est véritablement calme
et il en est de même au niveau d`Abidjan", a souligné le chef de l`armée
ivoirienne.
La tension est montée mardi en Côte d`Ivoire deux jours après le premier
tour de la présidentielle, la quasi-absence de résultats laissant le champ
libre aux rumeurs sur l`issue du vote mais aussi sur de prétendues opérations
militaires.
La CEI a légalement jusqu`à mercredi pour proclamer les résultats.
Le scrutin est censé clore la crise née en 2002 d`un putsch manqué de
l`ex-rébellion des Forces nouvelles (FN), qui tient depuis lors le nord du
pays.
"Nous devons tous garder notre calme et notre sérénité pour attendre les
résultats" qui doivent être communiqués par la Commission électorale
indépendante (CEI), a déclaré sur la télévision publique le chef d`état-major,
le général Philippe Mangou.
"Depuis hier (lundi), toutes les rues (d`Abidjan) sont désertes, les
véhicules ont arrêté de circuler", a-t-il déploré, observant que "des SMS
fusent de partout, des rumeurs courent la ville".
Dans les principales villes du pays, "la situation est véritablement calme
et il en est de même au niveau d`Abidjan", a souligné le chef de l`armée
ivoirienne.
La tension est montée mardi en Côte d`Ivoire deux jours après le premier
tour de la présidentielle, la quasi-absence de résultats laissant le champ
libre aux rumeurs sur l`issue du vote mais aussi sur de prétendues opérations
militaires.
La CEI a légalement jusqu`à mercredi pour proclamer les résultats.
Le scrutin est censé clore la crise née en 2002 d`un putsch manqué de
l`ex-rébellion des Forces nouvelles (FN), qui tient depuis lors le nord du
pays.