Avant d’être rendus publics, les résultats de chacune des 19 régions de Côte d’Ivoire subissent une série de vérifications, un examen à la loupe. C’est la méthode choisie qui a fait traîner la publication des résultats : dans un premier temps sont réunis autour d’une table les commissaires centraux avec le secrétaire exécutif de la Commission électorale indépendante, les quatre vice-présidents –Forces nouvelles, RDR, FPI et MFA-.
Dans la même salle, des sacs contenant les procès–verbaux, des opérateurs qui saisissent les résultats, département par département, région par région : dès qu’ils ont établi un document, il est acheminé dans une deuxième salle où se trouvent les représentants des partis politiques. Ils vérifient si la feuille établie correspond à leurs propres résultats. En cas de désaccord, le document est renvoyé dans la première salle et si le désaccord est important, le retour se fait jusqu’à l’urne litigieuse.
C’est cette méthode de travail qui a été appliquée. Le porte-parole de la CEI ne donne les résultats à la télévision ivoirienne que lorsqu’il n’y a plus de désaccord. Tous les 20073 procès verbaux qui sont stockés au siège de la CEI doivent donc être passés au crible avant d’être rendus publics.
Dans la même salle, des sacs contenant les procès–verbaux, des opérateurs qui saisissent les résultats, département par département, région par région : dès qu’ils ont établi un document, il est acheminé dans une deuxième salle où se trouvent les représentants des partis politiques. Ils vérifient si la feuille établie correspond à leurs propres résultats. En cas de désaccord, le document est renvoyé dans la première salle et si le désaccord est important, le retour se fait jusqu’à l’urne litigieuse.
C’est cette méthode de travail qui a été appliquée. Le porte-parole de la CEI ne donne les résultats à la télévision ivoirienne que lorsqu’il n’y a plus de désaccord. Tous les 20073 procès verbaux qui sont stockés au siège de la CEI doivent donc être passés au crible avant d’être rendus publics.