Rumeurs, spéculations, fondées ou non. En tout cas, tout y allait ces temps-ci. Depuis la fermeture des bureaux de vote, le dimanche 31 octobre dernier, l’élection présidentielle en Côte d’Ivoire a beaucoup alimenté la polémique dans le pays. Au siège de la Commission électorale indépendante (CEI) à Cocody, c’était toujours le statu quo en terme de résultats, jusqu’à hier dans l’après-midi. Ou du moins, ceux-ci ne tombaient qu’à contre-gouttes. En effet, jusqu’à avant-hier dans la soirée, seuls les résultats provisoires provenant de l’extérieur étaient disponibles. Ce sont ceux du Danemark, de l’Allemagne, de Bruxelles, du Gabon, du Ghana, du Mali, de l’Afrique du Sud, de l’Espagne, de la Suisse, de l’Italie, du Maroc, du Sénégal, du Canada, de la Tunisie et des Etats-Unis d’Amérique.
Cependant, depuis la fermeture des bureaux de vote, le dimanche à 17H, les locaux de la CEI ne désemplissent pas. Journalistes, caméramans, reporters photos, représentants de partis politiques et de candidats et autres observateurs, nationaux et internationaux, y ont élu leur quartier général. Tous sont venus dans l’espoir d’avoir le scoop des premiers résultats de l’élection présidentielle. Mais avant-hier lundi, tout ce beau monde semblait plongé dans une anxiété qui ne disait pas son nom. Tout simplement, parce que les résultats officiels tant attendus par les uns et les autres peinaient à venir. Surtout qu’à Abidjan et à l’intérieur du pays, l’ambiance générale continuait d’être faite de rumeurs. En effet, durant les nuits de dimanche à lundi et de lundi à hier mardi, et durant toute la matinée d’hier, les spéculations, généralement pas fondées, étaient rois. « Un tel est en tête ici, tel autre a perdu là », autant de bruits qui n’ont cessé de cristalliser la Côte d’Ivoire durant ces trois jours post électorale. Entre-temps, au niveau de la CEI, les choses continuaient de traîner. Les responsables, très souvent enfermés dans les bureaux, s’adonnaient à de multiples réunions. Tantôt entre membres de la CEI, tantôt ils étaient accompagnés des représentants des partis politiques ou des candidats. Un jeu de cache-cache interminable. De quoi donner des migraines à tous ceux venus s’abreuver de nouvelles « fraiches ». Et même l’intervention du président de la CEI, M. Youssouf Bakayoko, le lundi aux environs de 21H, appelant les Ivoiriens au calme et à la patience, n’apportait rien de nouveau sous le soleil.
Cependant, depuis la fermeture des bureaux de vote, le dimanche à 17H, les locaux de la CEI ne désemplissent pas. Journalistes, caméramans, reporters photos, représentants de partis politiques et de candidats et autres observateurs, nationaux et internationaux, y ont élu leur quartier général. Tous sont venus dans l’espoir d’avoir le scoop des premiers résultats de l’élection présidentielle. Mais avant-hier lundi, tout ce beau monde semblait plongé dans une anxiété qui ne disait pas son nom. Tout simplement, parce que les résultats officiels tant attendus par les uns et les autres peinaient à venir. Surtout qu’à Abidjan et à l’intérieur du pays, l’ambiance générale continuait d’être faite de rumeurs. En effet, durant les nuits de dimanche à lundi et de lundi à hier mardi, et durant toute la matinée d’hier, les spéculations, généralement pas fondées, étaient rois. « Un tel est en tête ici, tel autre a perdu là », autant de bruits qui n’ont cessé de cristalliser la Côte d’Ivoire durant ces trois jours post électorale. Entre-temps, au niveau de la CEI, les choses continuaient de traîner. Les responsables, très souvent enfermés dans les bureaux, s’adonnaient à de multiples réunions. Tantôt entre membres de la CEI, tantôt ils étaient accompagnés des représentants des partis politiques ou des candidats. Un jeu de cache-cache interminable. De quoi donner des migraines à tous ceux venus s’abreuver de nouvelles « fraiches ». Et même l’intervention du président de la CEI, M. Youssouf Bakayoko, le lundi aux environs de 21H, appelant les Ivoiriens au calme et à la patience, n’apportait rien de nouveau sous le soleil.
