L’élection présidentielle du 31 octobre 2010 s’est déroulée dans des conditions de transparence acceptables. C’est l’avis du centre Carter dont la délégation d’observateurs en Côte d’Ivoire était conduite par l’ancien Président de la République Ghanéenne, Son Excellence John Kufuor. Aussi, a-t-il salué, au cours de la conférence de presse qu’il animée hier, au Golf, la maturité des Ivoiriens et la classe politique ivoirienne. Pour l’ancien chef de l’Etat du Ghana, les Ivoiriens ont fait preuve de discipline et mis au-devant, l’intérêt supérieur de leur nation. Il en veut pour preuve le fort taux de participation (80%) qui est l’un des plus élevés au monde. Et surtout, le calme et la discipline qui ont caractérisé le scrutin. A entendre le chef de mission du Centre Carter, il ne pouvait en être autrement d’autant plus que « cette élection marque une étape cruciale ». En conséquence, le prédécesseur d’Atta Mils, a été catégorique en ces termes : « les Ivoiriens ont le droit de vote, le droit d’avoir leur vote soigneusement comptabilisé et respecté par tous les candidats ». Le conférencier a rappelé que le processus électoral ivoirien a été marqué par « d’importants défis en termes de planification et d’organisation surtout par rapport à la formation des agents électoraux et l’acheminement du matériel électoral ». Il n’a pas manqué d’affirmer que le soutien de la Communauté internationale a énormément contribué à organiser le scrutin dans des conditions apaisées. Toutefois, en attendant la finalisation de la transmission des résultats et la proclamation des résultats provisoires, John Kufor a invité tous les acteurs notamment les candidats à « respecter leur engagement pour une transition pacifique ». En conséquence, en cas de contestation des résultats, l’ancien numéro un ghanéen, conseille la voie légale qui est la saisine du Conseil Constitutionnel. Enfin, le chef de la délégation de Centre Carter, a suggéré en cas de deuxième tour, que le code de bonne conduite soit respecté, la collaboration entre la CEI et la société civile soit renforcée »
IBK
L’élection présidentielle du 31 octobre 2010 s’est déroulée dans des conditions de transparence acceptables. C’est l’avis du centre Carter dont la délégation d’observateurs en Côte d’Ivoire était conduite par l’ancien Président de la République Ghanéenne, Son Excellence John Kufuor. Aussi, a-t-il salué, au cours de la conférence de presse qu’il animée hier, au Golf, la maturité des Ivoiriens et la classe politique ivoirienne. Pour l’ancien chef de l’Etat du Ghana, les Ivoiriens ont fait preuve de discipline et mis au-devant, l’intérêt supérieur de leur nation. Il en veut pour preuve le fort taux de participation (80%) qui est l’un des plus élevés au monde. Et surtout, le calme et la discipline qui ont caractérisé le scrutin. A entendre le chef de mission du Centre Carter, il ne pouvait en être autrement d’autant plus que « cette élection marque une étape cruciale ». En conséquence, le prédécesseur d’Atta Mils, a été catégorique en ces termes : « les Ivoiriens ont le droit de vote, le droit d’avoir leur vote soigneusement comptabilisé et respecté par tous les candidats ». Le conférencier a rappelé que le processus électoral ivoirien a été marqué par « d’importants défis en termes de planification et d’organisation surtout par rapport à la formation des agents électoraux et l’acheminement du matériel électoral ». Il n’a pas manqué d’affirmer que le soutien de la Communauté internationale a énormément contribué à organiser le scrutin dans des conditions apaisées. Toutefois, en attendant la finalisation de la transmission des résultats et la proclamation des résultats provisoires, John Kufor a invité tous les acteurs notamment les candidats à « respecter leur engagement pour une transition pacifique ». En conséquence, en cas de contestation des résultats, l’ancien numéro un ghanéen, conseille la voie légale qui est la saisine du Conseil Constitutionnel. Enfin, le chef de la délégation de Centre Carter, a suggéré en cas de deuxième tour, que le code de bonne conduite soit respecté, la collaboration entre la CEI et la société civile soit renforcée »
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L’élection présidentielle du 31 octobre 2010 s’est déroulée dans des conditions de transparence acceptables. C’est l’avis du centre Carter dont la délégation d’observateurs en Côte d’Ivoire était conduite par l’ancien Président de la République Ghanéenne, Son Excellence John Kufuor. Aussi, a-t-il salué, au cours de la conférence de presse qu’il animée hier, au Golf, la maturité des Ivoiriens et la classe politique ivoirienne. Pour l’ancien chef de l’Etat du Ghana, les Ivoiriens ont fait preuve de discipline et mis au-devant, l’intérêt supérieur de leur nation. Il en veut pour preuve le fort taux de participation (80%) qui est l’un des plus élevés au monde. Et surtout, le calme et la discipline qui ont caractérisé le scrutin. A entendre le chef de mission du Centre Carter, il ne pouvait en être autrement d’autant plus que « cette élection marque une étape cruciale ». En conséquence, le prédécesseur d’Atta Mils, a été catégorique en ces termes : « les Ivoiriens ont le droit de vote, le droit d’avoir leur vote soigneusement comptabilisé et respecté par tous les candidats ». Le conférencier a rappelé que le processus électoral ivoirien a été marqué par « d’importants défis en termes de planification et d’organisation surtout par rapport à la formation des agents électoraux et l’acheminement du matériel électoral ». Il n’a pas manqué d’affirmer que le soutien de la Communauté internationale a énormément contribué à organiser le scrutin dans des conditions apaisées. Toutefois, en attendant la finalisation de la transmission des résultats et la proclamation des résultats provisoires, John Kufor a invité tous les acteurs notamment les candidats à « respecter leur engagement pour une transition pacifique ». En conséquence, en cas de contestation des résultats, l’ancien numéro un ghanéen, conseille la voie légale qui est la saisine du Conseil Constitutionnel. Enfin, le chef de la délégation de Centre Carter, a suggéré en cas de deuxième tour, que le code de bonne conduite soit respecté, la collaboration entre la CEI et la société civile soit renforcée »
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