“Les élections se sont déroulées dans le calme. Permettez-moi de mettre cela à votre actif, à votre implication. J’ai bien noté que pendant les quinze jours de campagne, puisque nous avons des retours dans les mosquées, les églises et les temples, vous avez lancé un appel au calme et à la tranquillité. Vous ne vous êtes pas contenté de prêcher. N’imaginez pas que cela n’a pas eu d’impact. Cela a eu un impact. Les gens étaient heureux et fiers de voir que toutes les religions ont pu se mettre ensemble pour prier d’une même voix.
Je voudrais au nom du gouvernement vous remercier et vous saluer. Je voudrais aussi vous dire que le gouvernement a hautement apprécié votre implication. Je viens d’écouter vos différentes déclarations à la télévision. Ce sont de très bonnes déclarations. Comme vous le savez, je l’ai dit à ceux que j’ai eus au téléphone, votre travail n’est pas terminé. Il doit maintenant atteindre la vitesse de croisière. Une chose est de voter dans la paix, une autre est la proclamation des résultats. C’est dans cette seconde étape que nous sommes. Je demande aux religieux de continuer leur travail. Le gouvernement continue de gérer l’aspect sécuritaire de cette élection qui doit accompagner la proclamation des résultats. Il revient strictement et exclusivement à la Commission électorale et indépendante (CEI) de proclamer les résultats. Nous sommes donc patients et attendons que la CEI fasse son travail. Vous avez lancé un appel à la patience. Cet appel est entendu. Nous allons être patients. L’occasion est belle pour moi pour m’adresser aux Ivoiriens. Je voudrais leur demander de garder le calme. Laissons la CEI qui est composée de toutes les forces politiques, signataires des accords politiques de Linas-Marcoussis, nous dire la vérité des urnes. Je demande aux Ivoiriens d’accepter les résultats du vote. Attendons ensemble, devant nos petits écrans, la proclamation des résultats. Evidemment, il s’agit de désigner le président de la République. C’est pourquoi, l’environnement qui entoure cette proclamation des résultats doit être serein, tranquille. Ainsi, celui qui sera élu trouvera un pays apaisé et gouvernera tranquillement. C’est dans l’intérêt de tous les candidats de demander à leurs militants de rester calmes. Il nous faut des élections propres jusqu’au bout.
Voici chers guides religieux, le message que je voulais vous lancer. Nous avons été tellement fiers du peuple ivoirien ces derniers jours. Sur l’ensemble des chaînes étrangères, on n’a pas tari de dire que ces élections sont historiques. Cela est une victoire ! Je vous remercie ».
Propos recueillis par G.F.Y.
Je voudrais au nom du gouvernement vous remercier et vous saluer. Je voudrais aussi vous dire que le gouvernement a hautement apprécié votre implication. Je viens d’écouter vos différentes déclarations à la télévision. Ce sont de très bonnes déclarations. Comme vous le savez, je l’ai dit à ceux que j’ai eus au téléphone, votre travail n’est pas terminé. Il doit maintenant atteindre la vitesse de croisière. Une chose est de voter dans la paix, une autre est la proclamation des résultats. C’est dans cette seconde étape que nous sommes. Je demande aux religieux de continuer leur travail. Le gouvernement continue de gérer l’aspect sécuritaire de cette élection qui doit accompagner la proclamation des résultats. Il revient strictement et exclusivement à la Commission électorale et indépendante (CEI) de proclamer les résultats. Nous sommes donc patients et attendons que la CEI fasse son travail. Vous avez lancé un appel à la patience. Cet appel est entendu. Nous allons être patients. L’occasion est belle pour moi pour m’adresser aux Ivoiriens. Je voudrais leur demander de garder le calme. Laissons la CEI qui est composée de toutes les forces politiques, signataires des accords politiques de Linas-Marcoussis, nous dire la vérité des urnes. Je demande aux Ivoiriens d’accepter les résultats du vote. Attendons ensemble, devant nos petits écrans, la proclamation des résultats. Evidemment, il s’agit de désigner le président de la République. C’est pourquoi, l’environnement qui entoure cette proclamation des résultats doit être serein, tranquille. Ainsi, celui qui sera élu trouvera un pays apaisé et gouvernera tranquillement. C’est dans l’intérêt de tous les candidats de demander à leurs militants de rester calmes. Il nous faut des élections propres jusqu’au bout.
Voici chers guides religieux, le message que je voulais vous lancer. Nous avons été tellement fiers du peuple ivoirien ces derniers jours. Sur l’ensemble des chaînes étrangères, on n’a pas tari de dire que ces élections sont historiques. Cela est une victoire ! Je vous remercie ».
Propos recueillis par G.F.Y.