ABIDJAN, 3 nov 2010 (AFP) - Le président ivoirien Laurent Gbagbo et
l'ex-Premier ministre Alassane Ouattara s'affronteront au second tour de la
présidentielle, selon une compilation de la quasi-totalité des résultats
établie par l'AFP.
M. Gbagbo recueille quelque 1,7 million de voix (environ 38%), contre 1,4
million pour M. Ouattara (environ 32%), après dépouillement de la
quasi-totalité des suffrages.
L'ancien président Henri Konan Bédié, dont le parti a dénoncé une "volonté
manifeste de tripatouillage" et réclamé un recomptage, réunit 1,1 million de
voix (25%).
Le porte-parole de la Commission électorale indépendante (CEI), Bamba
Yacouba, a achevé dans la soirée d'égrener les résultats partiels qu'il
délivrait depuis mardi sur la télévision publique. Manquaient seulement dans
ces dernières données les résultats complets de l'une des 19 régions et
quelques résultats concernant la diaspora.
Le président de la CEI Youssouf Bakayoko devait annoncer rapidement les
résultats complets provisoires.
Sans cesse repoussé depuis 2005, le scrutin est censé clore une décennie de
crise politico-militaire.
dy-tmo/mpd
l'ex-Premier ministre Alassane Ouattara s'affronteront au second tour de la
présidentielle, selon une compilation de la quasi-totalité des résultats
établie par l'AFP.
M. Gbagbo recueille quelque 1,7 million de voix (environ 38%), contre 1,4
million pour M. Ouattara (environ 32%), après dépouillement de la
quasi-totalité des suffrages.
L'ancien président Henri Konan Bédié, dont le parti a dénoncé une "volonté
manifeste de tripatouillage" et réclamé un recomptage, réunit 1,1 million de
voix (25%).
Le porte-parole de la Commission électorale indépendante (CEI), Bamba
Yacouba, a achevé dans la soirée d'égrener les résultats partiels qu'il
délivrait depuis mardi sur la télévision publique. Manquaient seulement dans
ces dernières données les résultats complets de l'une des 19 régions et
quelques résultats concernant la diaspora.
Le président de la CEI Youssouf Bakayoko devait annoncer rapidement les
résultats complets provisoires.
Sans cesse repoussé depuis 2005, le scrutin est censé clore une décennie de
crise politico-militaire.
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