Un juriste démontre la fraude
Le président de la Fondation Espoir Pdci, Zié Coulibaly Daouda est monté au créneau hier à la Maison du Pdci à Cocody pour dénoncer un coup d’Etat électoral dont est victime le Président Henri Konan Bédié. « Un braquage électoral a lieu en ce moment en Côte d’Ivoire. Je voudrais appeler l’Union Européenne, la Cedeao, l’Onuci et toutes les Institutions Internationales et les organisations des Ddroits de l’Homme qu’un braquage électoral a lieu en ce moment en Côte d’Ivoire pour empêcher le parti majoritaire, Pdci qui est en tête des élections », a-t-il dénoncé. Selon lui, cette situation est inadmissible parce qu’elle portera à coup sûr une atteinte à l’équilibre social.
Me Ahobo démontre la mascarade
Au cours de cette conférence de presse, Me Ahobo Claude a démontré la grande fraude qui a lieu actuellement dans la proclamation des résultats du scrutin présidentiel tenu. Cette conférence de presse a eu lieu à la Maison du Pdci dans une atmosphère surchauffée. « Jusqu’à hier (ndlr : mardi), lorsque nous avons collectionné tous nos procès verbaux de dépouillement sur toute l’étendue du territoire, notre candidat, le président Henri Konan Bédié était en tête. Nous avons été surpris à la proclamation des résultats sur les antennes de la télévision première chaîne certains résultats qui avaient été annoncés par la CEI n’étaient pas conformes aux résultats que nous avions. Nous avons été volés pratiquement de 250.000 voix sur un total de 2.500.000 proclamées. Nous pensons que, c’est un abus et nous nous sommes basés sur nos procès verbaux. Et nous nous sommes rendus compte que beaucoup d’irrégularités étaient faites. Quelques exemples : dans des bureaux de vote différents à Abobo notamment, c’est la même personne qui remplit les procès verbaux. Nous nous sommes rendus également compte que certains procès verbaux avaient été signés d’avance de sorte qu’on a oublié volontairement de leur faire signer des procès verbaux à la fin. Nous avons seulement remarqué sur un procès verbal sorti inopinément que sur 312 votants, on a attribué 341 voix à un candidat quand les autres avaient 35 et 38. Il est impossible d’ attribuer plus de voix que de votants. Il y a beaucoup d’anomalies et nous pensons qu’on nous a volé la victoire. C’est pour cela que lorsque les jeunes m’ont approché, je leur ai remis les éléments qui pouvaient étayer leur point de presse», a-t-il révélé.
Lance Touré
Le président de la Fondation Espoir Pdci, Zié Coulibaly Daouda est monté au créneau hier à la Maison du Pdci à Cocody pour dénoncer un coup d’Etat électoral dont est victime le Président Henri Konan Bédié. « Un braquage électoral a lieu en ce moment en Côte d’Ivoire. Je voudrais appeler l’Union Européenne, la Cedeao, l’Onuci et toutes les Institutions Internationales et les organisations des Ddroits de l’Homme qu’un braquage électoral a lieu en ce moment en Côte d’Ivoire pour empêcher le parti majoritaire, Pdci qui est en tête des élections », a-t-il dénoncé. Selon lui, cette situation est inadmissible parce qu’elle portera à coup sûr une atteinte à l’équilibre social.
Me Ahobo démontre la mascarade
Au cours de cette conférence de presse, Me Ahobo Claude a démontré la grande fraude qui a lieu actuellement dans la proclamation des résultats du scrutin présidentiel tenu. Cette conférence de presse a eu lieu à la Maison du Pdci dans une atmosphère surchauffée. « Jusqu’à hier (ndlr : mardi), lorsque nous avons collectionné tous nos procès verbaux de dépouillement sur toute l’étendue du territoire, notre candidat, le président Henri Konan Bédié était en tête. Nous avons été surpris à la proclamation des résultats sur les antennes de la télévision première chaîne certains résultats qui avaient été annoncés par la CEI n’étaient pas conformes aux résultats que nous avions. Nous avons été volés pratiquement de 250.000 voix sur un total de 2.500.000 proclamées. Nous pensons que, c’est un abus et nous nous sommes basés sur nos procès verbaux. Et nous nous sommes rendus compte que beaucoup d’irrégularités étaient faites. Quelques exemples : dans des bureaux de vote différents à Abobo notamment, c’est la même personne qui remplit les procès verbaux. Nous nous sommes rendus également compte que certains procès verbaux avaient été signés d’avance de sorte qu’on a oublié volontairement de leur faire signer des procès verbaux à la fin. Nous avons seulement remarqué sur un procès verbal sorti inopinément que sur 312 votants, on a attribué 341 voix à un candidat quand les autres avaient 35 et 38. Il est impossible d’ attribuer plus de voix que de votants. Il y a beaucoup d’anomalies et nous pensons qu’on nous a volé la victoire. C’est pour cela que lorsque les jeunes m’ont approché, je leur ai remis les éléments qui pouvaient étayer leur point de presse», a-t-il révélé.
Lance Touré