La requête en annulation d’Henri Konan Bédié au premier tour du scrutin du 31 octobre dernier a été rejetée sur décision du Conseil Constitutionnel. L’information a été livrée hier au siège du Conseil Constitutionnel par son Secrétaire général, M. Gbassi Kodiané. Le dépôt tardif de la requête de Bédié est la cause principale de ce rejet. N’Zuéba a déposé sa requête 6 jours après la clôture du scrutin et la proclamation des résultats défintifs.
Selon le Secrétaire Général du Conseil Constitutionnel, M. Gbassi Kodjané l’article 60 du Code électoral dispose : “Tout candidat à l’élection du Président de la République peut présenter, par requête écrite adressée au Président du Conseil Constitutionnel, une réclamation concernant la régularité du scrutin ou de son dépouillement. La requête ainsi que les pièces produites au soutien de ses moyens doivent être déposées dans les trois jours qui suivent la clôture du scrutin”, a- t-il déclaré. Le Conseil Constitutionnel appelle les requérants à l’esprit citoyen et à se départir de tout acte susceptible d’entacher le second tour de la présidentielle, dans la mesure où “ aucune réclamation concernant la régularité du scrutin ou de son dépouillement n’a été présentée par voie de requête écrite au Président du Conseil Constitutionnel dans les 3 jours après la clôture du scrutin” a martelé le Secrétaire Général, M. Gbassi Kodjané.
Arlette Gnacabi
(Stagiaire)
Selon le Secrétaire Général du Conseil Constitutionnel, M. Gbassi Kodjané l’article 60 du Code électoral dispose : “Tout candidat à l’élection du Président de la République peut présenter, par requête écrite adressée au Président du Conseil Constitutionnel, une réclamation concernant la régularité du scrutin ou de son dépouillement. La requête ainsi que les pièces produites au soutien de ses moyens doivent être déposées dans les trois jours qui suivent la clôture du scrutin”, a- t-il déclaré. Le Conseil Constitutionnel appelle les requérants à l’esprit citoyen et à se départir de tout acte susceptible d’entacher le second tour de la présidentielle, dans la mesure où “ aucune réclamation concernant la régularité du scrutin ou de son dépouillement n’a été présentée par voie de requête écrite au Président du Conseil Constitutionnel dans les 3 jours après la clôture du scrutin” a martelé le Secrétaire Général, M. Gbassi Kodjané.
Arlette Gnacabi
(Stagiaire)