Les langues commencent à se délier au fur et à mesure que les jours passent à propos de la fraude que le poulain de Nicolas Sarkozy a organisé dans les zones Centre, Nord et Ouest (CNO) pour espérer gagner la présidentielle ivoirienne avec la complicité savamment orchestrée de l’ONUCI. Selon le journal français France-Soir dans sa parution de mardi dernier, les affirmations du Conseil constitutionnel suite aux recours en annulation déposés par La Majorité Présidentielle (LMP) pour fraude et violences au nord ne sont pas vaines. La preuve est donnée par M. Frédéric
Lafont, ancien militaire de l’armée française reconverti dans les affaires et installé en Côte d’Ivoire. Il est par ailleurs propriétaire de la compagnie aérienne Sophia Airline et c’est à ce titre que sa compagnie a été sollicitée par l’UE pour transporter selon lui les observateurs européens lors du 2ème tour de l’élection présidentielle ivoirienne.
Frédéric Lafont, écrit France-Soir, s’est “porté au secours de 17 observateurs de l’Union Européenne dans le Nord et dans l’Ouest, en plein fief d’Alassane Ouatarra, les 28 et 29 novembre 2010 à la demande de l’instance européenne». Pour quelle raisons ? Parce que «les observateurs présents à Khorogo étaient en mauvaise posture». En mauvaise posture veut dire qu’ils étaient en danger et que leur sécurité était menacée. “Même mes pilotes ont eu peur sur place», explique Frédéric Lafont.
C’est dire que le climat sécuritaire ce jour là à Korhogo était délétère au point que même les observateurs de l’UE qui n’étaient pas pourtant visés ont eu peur pour
leur sécurité. Le lendemain, le 29 novembre 2010, poursuit le journal, Sophia
Airlines est allé rechercher d’autres observateurs «du côte de Man» à l’Ouest du
pays. “C’était très chaud pour leur sécurité”. Ici encore c’était très chaud. C’est dire
que visiblement, les rebelles de Ouattara étaient surexcités à l’idée de tout mettre
en œuvre pour que leur mentor l’emporte par tout les moyens y compris militaire.
D’où l’insécurité qu’ils ont fait volontairement régner pour faire fuir les observateurs
mais surtout les électeurs favorables à Laurent Gbagbo et à ses représentants dans
les bureaux de vote. Frédéric Lafont raconte à en croire France-Soir que deux
observateurs se sont confiés à lui à l’arrivée de l’avion à Abidjan lors de leur retour
de Korhogo : « Ils expliquaient que c’était très chaud pour leur sécurité et qu’ils ont
constaté des fraudes au Nord ».
C’est encore une autre preuve du complot international qui a été ourdi pour démettre
le président Gbagbo de sa fonction. En effet, si on admet que les observateurs de
l’UE – qui tétanisés par ce qu’ils ont vécu au nord auraient demandé de quitter au
plus vite le pays vers le Ghana- ont fui à cause de la terreur installée par Ouattara
à travers ses hommes, il est dans ce cas loisible d’admettre que les électeurs
et les représentants de Laurent Gbagbo dans les bureaux de vote dans le nord
ne pouvaient pas y rester. Préférant sauver leur vie. Quand on fait régner un tel
climat de terreur pour chasser tous ceux qui peuvent empêcher le sacre du Sir
Ouattara, on ne peut raisonnablement s’étonner que dans un Etat de droit, la
juridiction compétente sanctionne un tel acte. C’est là que l’ONU qui a pourtant ses
démembrements partout dans le pays et l’UE qui n’a pas pu faire son travail à a
cause de la violence font fait preuve de malhonnêteté.
L’Union Européenne accuse Frédéric Lafont, d’avoir transporté des armes avec sa
compagnie aérienne Sophia Airlines. Pour cela, elle sanctionnée au même titre que
les 59 personnalités ivoiriennes proches du président Gbagbo qui selon l’UE font
entrave au processus de paix. Il sait comme il le dit beaucoup de choses. Est-ce
pour cela qu’il a son nom avec son épouse sur cette liste des proches de Gbagbo à
sanctionner.
Coulibaly Zié Oumar
Lafont, ancien militaire de l’armée française reconverti dans les affaires et installé en Côte d’Ivoire. Il est par ailleurs propriétaire de la compagnie aérienne Sophia Airline et c’est à ce titre que sa compagnie a été sollicitée par l’UE pour transporter selon lui les observateurs européens lors du 2ème tour de l’élection présidentielle ivoirienne.
Frédéric Lafont, écrit France-Soir, s’est “porté au secours de 17 observateurs de l’Union Européenne dans le Nord et dans l’Ouest, en plein fief d’Alassane Ouatarra, les 28 et 29 novembre 2010 à la demande de l’instance européenne». Pour quelle raisons ? Parce que «les observateurs présents à Khorogo étaient en mauvaise posture». En mauvaise posture veut dire qu’ils étaient en danger et que leur sécurité était menacée. “Même mes pilotes ont eu peur sur place», explique Frédéric Lafont.
C’est dire que le climat sécuritaire ce jour là à Korhogo était délétère au point que même les observateurs de l’UE qui n’étaient pas pourtant visés ont eu peur pour
leur sécurité. Le lendemain, le 29 novembre 2010, poursuit le journal, Sophia
Airlines est allé rechercher d’autres observateurs «du côte de Man» à l’Ouest du
pays. “C’était très chaud pour leur sécurité”. Ici encore c’était très chaud. C’est dire
que visiblement, les rebelles de Ouattara étaient surexcités à l’idée de tout mettre
en œuvre pour que leur mentor l’emporte par tout les moyens y compris militaire.
D’où l’insécurité qu’ils ont fait volontairement régner pour faire fuir les observateurs
mais surtout les électeurs favorables à Laurent Gbagbo et à ses représentants dans
les bureaux de vote. Frédéric Lafont raconte à en croire France-Soir que deux
observateurs se sont confiés à lui à l’arrivée de l’avion à Abidjan lors de leur retour
de Korhogo : « Ils expliquaient que c’était très chaud pour leur sécurité et qu’ils ont
constaté des fraudes au Nord ».
C’est encore une autre preuve du complot international qui a été ourdi pour démettre
le président Gbagbo de sa fonction. En effet, si on admet que les observateurs de
l’UE – qui tétanisés par ce qu’ils ont vécu au nord auraient demandé de quitter au
plus vite le pays vers le Ghana- ont fui à cause de la terreur installée par Ouattara
à travers ses hommes, il est dans ce cas loisible d’admettre que les électeurs
et les représentants de Laurent Gbagbo dans les bureaux de vote dans le nord
ne pouvaient pas y rester. Préférant sauver leur vie. Quand on fait régner un tel
climat de terreur pour chasser tous ceux qui peuvent empêcher le sacre du Sir
Ouattara, on ne peut raisonnablement s’étonner que dans un Etat de droit, la
juridiction compétente sanctionne un tel acte. C’est là que l’ONU qui a pourtant ses
démembrements partout dans le pays et l’UE qui n’a pas pu faire son travail à a
cause de la violence font fait preuve de malhonnêteté.
L’Union Européenne accuse Frédéric Lafont, d’avoir transporté des armes avec sa
compagnie aérienne Sophia Airlines. Pour cela, elle sanctionnée au même titre que
les 59 personnalités ivoiriennes proches du président Gbagbo qui selon l’UE font
entrave au processus de paix. Il sait comme il le dit beaucoup de choses. Est-ce
pour cela qu’il a son nom avec son épouse sur cette liste des proches de Gbagbo à
sanctionner.
Coulibaly Zié Oumar