Dans une déclaration rendue publique, la Coordination générale de lutte contre la pauvreté et des grins de Bouaké s'est insurgée contre la décision du Conseil de paix et de sécurité de l'Union africaine de mettre sur pied un panel de cinq chefs d'Etat : “Nous ne sommes pas en quête de médiateurs mais plutôt de paix et de démocratie… pour une fois, il serait temps que nous gardions l'image d'une Union africaine résolument tournée vers la promotion des valeurs démocratiques.”
Coulisses Publié le lundi 31 janvier 2011 | Nord-Sud