Retranché au Golf Hôtel, Ouattara prépare sa défense dans la fraude. Et cela, avec la complicité de Choï.
Le monde a sûrement rit des incongruités de Ban Ki-moon, lorsque pendant le sommet de l’Ua, il s’égarait pathétiquement en disant que le « recomptage des voix serait une grave injustice. » Pour la première fois, on apprend que la recherche de la vérité dans une situation de crise « est une injustice.» En fait, ce diplomate coréen a en réalité peur que sa forfaiture soit découverte en Côte d’Ivoire. Dans cette crise, il joue son deuxième mandat avec le soutien de la France. La Côte d’Ivoire étant pour Paris le deal qui le lie avec Ban ki-moon. «Tu nous aides à vaincre les Ivoiriens et on te soutient pour un second mandat. » C’est le sens du deal dans lequel Sarkozy et Ban ki-moon sont. L’Onu veut alors par tous les moyens, couvrir les fraudes qu’elle a organisées en Côte d’Ivoire. C’est pourquoi, depuis le sommet de l’Ua qui annonce l’arrivée d’un panel de cinq chefs d’Etat pour évaluer le processus électoral, Ouattara et Choï se sont mis au labo au Golf Hôtel et à l’Hôtel Sebroko, quartier général de l’Onuci, aujourd’hui dans la rébellion. Ces deux truands ont mis en branle la plupart des services onusiens pour fabriquer de faux Pv de certains bureaux de vote. Il s’agit plutôt des Pv à problèmes qui ont coulé le candidat du Rdr. Notamment, ceux des régions du Centre et du Nord ou la fraude a été gigantesque et grossière. Ouattara et Choï se sont mis à fabriquer ces Pv qu’ils voudraient conformes au pourcentage de 54% qu’il s’est donné. En tout cas, pas vraiment étonnant pour qui connait l’homme depuis fort longtemps. C’est un habitué du faux et qui ne vit que de propagandes et d’intox. Au sous sol de l’hôtel Sebroko, l’opération de fabrication de ces faux Pv se déroule quasiment loin des regards de certains cadres ivoiriens. Raison invoquée ? Ils pourraient vendre la mèche au pouvoir parce que dans cette crise, l’Onu veut par tous les moyens, réussir à sauver sa tête. Surtout que la prétendue victoire de Ouattara ne repose sur aucune base juridique. Face aux différents émissaires envoyés par la Cedeao et l’Ua, l’homme n’a jamais réussi à démontrer juridiquement qu’il a gagné la présidentielle. Au point que ceux qui prennent fait et cause pour lui dans les autres pays, une fois en Côte d’Ivoire au contact de la réalité, changent de discours. Le cas du Premier ministre kenyan est un exemple patent. A la découverte de la fraude organisée par l’Onu et Ouattara, il s’est confondu en excuses devant le chef de l’Etat Laurent Gbagbo. Mais son problème est qu’il est fortement lié à la mafia qui attaque la Côte d’Ivoire. C’est en fait, ce qui explique ses nombreux écarts dans la crise ivoirienne. Tout compte fait, Alassane veut offrir une base juridique à sa pseudo-victoire. Malheureusement pour lui, il sera encore démasqué. Car rien ne prospère dans le faux. Si le mensonge et la corruption offraient le pouvoir en Côte d’Ivoire, Ouattara serait chef de l’Etat depuis plus de 10 ans. Car Dieu seul sait le nombre d’Ivoiriens qu’il a corrompus dans tous les secteurs pour les avoir à sa cause. Rien que pour le pouvoir. Il veut peut-être rompre avec son discours habituel qui consiste à dire qu’il est « le président reconnu par la communauté international. » Une vraie aberration pour cette Côte d’Ivoire nouvelle très jalouse de sa souveraineté.
Guehi Brence
Le monde a sûrement rit des incongruités de Ban Ki-moon, lorsque pendant le sommet de l’Ua, il s’égarait pathétiquement en disant que le « recomptage des voix serait une grave injustice. » Pour la première fois, on apprend que la recherche de la vérité dans une situation de crise « est une injustice.» En fait, ce diplomate coréen a en réalité peur que sa forfaiture soit découverte en Côte d’Ivoire. Dans cette crise, il joue son deuxième mandat avec le soutien de la France. La Côte d’Ivoire étant pour Paris le deal qui le lie avec Ban ki-moon. «Tu nous aides à vaincre les Ivoiriens et on te soutient pour un second mandat. » C’est le sens du deal dans lequel Sarkozy et Ban ki-moon sont. L’Onu veut alors par tous les moyens, couvrir les fraudes qu’elle a organisées en Côte d’Ivoire. C’est pourquoi, depuis le sommet de l’Ua qui annonce l’arrivée d’un panel de cinq chefs d’Etat pour évaluer le processus électoral, Ouattara et Choï se sont mis au labo au Golf Hôtel et à l’Hôtel Sebroko, quartier général de l’Onuci, aujourd’hui dans la rébellion. Ces deux truands ont mis en branle la plupart des services onusiens pour fabriquer de faux Pv de certains bureaux de vote. Il s’agit plutôt des Pv à problèmes qui ont coulé le candidat du Rdr. Notamment, ceux des régions du Centre et du Nord ou la fraude a été gigantesque et grossière. Ouattara et Choï se sont mis à fabriquer ces Pv qu’ils voudraient conformes au pourcentage de 54% qu’il s’est donné. En tout cas, pas vraiment étonnant pour qui connait l’homme depuis fort longtemps. C’est un habitué du faux et qui ne vit que de propagandes et d’intox. Au sous sol de l’hôtel Sebroko, l’opération de fabrication de ces faux Pv se déroule quasiment loin des regards de certains cadres ivoiriens. Raison invoquée ? Ils pourraient vendre la mèche au pouvoir parce que dans cette crise, l’Onu veut par tous les moyens, réussir à sauver sa tête. Surtout que la prétendue victoire de Ouattara ne repose sur aucune base juridique. Face aux différents émissaires envoyés par la Cedeao et l’Ua, l’homme n’a jamais réussi à démontrer juridiquement qu’il a gagné la présidentielle. Au point que ceux qui prennent fait et cause pour lui dans les autres pays, une fois en Côte d’Ivoire au contact de la réalité, changent de discours. Le cas du Premier ministre kenyan est un exemple patent. A la découverte de la fraude organisée par l’Onu et Ouattara, il s’est confondu en excuses devant le chef de l’Etat Laurent Gbagbo. Mais son problème est qu’il est fortement lié à la mafia qui attaque la Côte d’Ivoire. C’est en fait, ce qui explique ses nombreux écarts dans la crise ivoirienne. Tout compte fait, Alassane veut offrir une base juridique à sa pseudo-victoire. Malheureusement pour lui, il sera encore démasqué. Car rien ne prospère dans le faux. Si le mensonge et la corruption offraient le pouvoir en Côte d’Ivoire, Ouattara serait chef de l’Etat depuis plus de 10 ans. Car Dieu seul sait le nombre d’Ivoiriens qu’il a corrompus dans tous les secteurs pour les avoir à sa cause. Rien que pour le pouvoir. Il veut peut-être rompre avec son discours habituel qui consiste à dire qu’il est « le président reconnu par la communauté international. » Une vraie aberration pour cette Côte d’Ivoire nouvelle très jalouse de sa souveraineté.
Guehi Brence