La communauté internationale est en train de réussir son pari. Celui de contraindre Gbagbo à se retirer de la scène politique ivoirienne après son échec à la présidentielle de novembre 2010.
Sanctions économiques, gels des avoirs à l'étranger de Gbagbo et de ses proches, refus de visas, etc. La mayonnaise a fini par prendre avec l'asphyxie économique matérialisée par l'embargo économique. C'est aujourd'hui la panique dans le camp Gbagbo. Les deux ports (Abidjan et San Pedro), l'exportation du café-cacao, la destination Côte d'Ivoire désormais ''interdite'', tout cela n'est pas fait pour arranger le camp Gbagbo. Malgré les grands airs qu'ils affichent, les refondateurs savent que le temps joue désormais contre eux. Les ressources financières se raréfient de plus en plus. Aujourd'hui, le temps est désormais compté pour l'ex-président et son entourage. Cela est surtout à mettre à l'actif de la communauté internationale qui a impulsé cette action après l'élection présidentielle qui a consacré la victoire d'Alassane Dramane Ouattara, candidat du Rhdp (Rassemblement des Houphouétistes pour la démocratie et la paix). Laurent Gbagbo refusant de céder le fauteuil qu'il occupe, les sanctions économiques ont alors commencé à pleuvoir. Dans l'entourage de Gbagbo, l'on ne sait plus à quel saint se vouer pour renflouer les caisses. D'où le braquage de la Bceao dont s'est fait l'écho les medias. Gbagbo n'a-t-il pas dit que le temps est un autre nom de Dieu ? Wait and see.
JEA
Sanctions économiques, gels des avoirs à l'étranger de Gbagbo et de ses proches, refus de visas, etc. La mayonnaise a fini par prendre avec l'asphyxie économique matérialisée par l'embargo économique. C'est aujourd'hui la panique dans le camp Gbagbo. Les deux ports (Abidjan et San Pedro), l'exportation du café-cacao, la destination Côte d'Ivoire désormais ''interdite'', tout cela n'est pas fait pour arranger le camp Gbagbo. Malgré les grands airs qu'ils affichent, les refondateurs savent que le temps joue désormais contre eux. Les ressources financières se raréfient de plus en plus. Aujourd'hui, le temps est désormais compté pour l'ex-président et son entourage. Cela est surtout à mettre à l'actif de la communauté internationale qui a impulsé cette action après l'élection présidentielle qui a consacré la victoire d'Alassane Dramane Ouattara, candidat du Rhdp (Rassemblement des Houphouétistes pour la démocratie et la paix). Laurent Gbagbo refusant de céder le fauteuil qu'il occupe, les sanctions économiques ont alors commencé à pleuvoir. Dans l'entourage de Gbagbo, l'on ne sait plus à quel saint se vouer pour renflouer les caisses. D'où le braquage de la Bceao dont s'est fait l'écho les medias. Gbagbo n'a-t-il pas dit que le temps est un autre nom de Dieu ? Wait and see.
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