ABIDJAN - Le président tchadien Idriss Deby Itno est arrivé lundi vers 12H00 (locales et GMT) à Abidjan, où il devait être rejoint par trois autres chefs d`Etat africains membres d`un panel chargé de dénouer la crise ivoirienne, a constaté un photographe de l`AFP.
M. Deby a été accueilli à son arrivée à l`aéroport par le représentant de
l`Union africaine (UA), Ambroise Nyonsaba.
Mohamed Ould Abdel Aziz (Mauritanie), Jacob Zuma (Afrique du Sud) et Jikaya
Kikwete (Tanzanie), avec qui M. Deby a participé dimanche à une réunion à
Nouakchott, étaient attendus un peu plus tard.
Le cinquième membre du panel, Blaise Compaoré (Burkina Faso), a renoncé -
pour "raison de sécurité", selon la présidence burkinabè - à se rendre à
Abidjan, où l`attendaient dimanche soir à l`aéroport plus d`un millier de
partisans du président ivoirien sortant Laurent Gbagbo hostiles à sa venue.
Le camp Gbagbo l`accuse de soutenir Alassane Ouattara, reconnu président
ivoirien par une grande partie de la communauté internationale, dont l`UA.
Les quatre dirigeants attendus lundi en Côte d`Ivoire doivent soumettre des
propositions aux rivaux pour aboutir d`ici le 28 février à des solutions
"contraignantes", et clore la crise née de la présidentielle de novembre 2010.
M. Deby a été accueilli à son arrivée à l`aéroport par le représentant de
l`Union africaine (UA), Ambroise Nyonsaba.
Mohamed Ould Abdel Aziz (Mauritanie), Jacob Zuma (Afrique du Sud) et Jikaya
Kikwete (Tanzanie), avec qui M. Deby a participé dimanche à une réunion à
Nouakchott, étaient attendus un peu plus tard.
Le cinquième membre du panel, Blaise Compaoré (Burkina Faso), a renoncé -
pour "raison de sécurité", selon la présidence burkinabè - à se rendre à
Abidjan, où l`attendaient dimanche soir à l`aéroport plus d`un millier de
partisans du président ivoirien sortant Laurent Gbagbo hostiles à sa venue.
Le camp Gbagbo l`accuse de soutenir Alassane Ouattara, reconnu président
ivoirien par une grande partie de la communauté internationale, dont l`UA.
Les quatre dirigeants attendus lundi en Côte d`Ivoire doivent soumettre des
propositions aux rivaux pour aboutir d`ici le 28 février à des solutions
"contraignantes", et clore la crise née de la présidentielle de novembre 2010.