La crise post-électorale créée de toutes pièces par le candidat des mauvais perdants (LMP), Laurent Gbagbo, sera gérée. C'est le défi rélévé par le Président de la République, SEM Alassane Ouattara. Le délégué général du RHDP/Allemagne, Azize Diabaté a, pour sa part, pris son bâton de pèlerin pour faire le tour des chancelleries au moment oû l'Union africaine a confié une mission de la dernière chance à un panel de cinq chefs d'états africains.
Les houphouétistes d'Allemagne sont donc en mission. Objectif: expliquer la crise ivoirienne à ceux qui n'en savent rien. En effet, suite à la campagne d'intoxication entreprise par les refondateurs à l'extérieur, certaines élites africaines ont pensé que la crise ivoirienne était le fait de la ténébreuse françafrique ou de l'impérialisme occidental. Azize Diabaté et sa délégation ont donc rencontré les diplomates africains en poste à Berlin, pour expliquer que le peuple ivoirien a voté librement et que le président sortant refuse de reconnaître le verdict des urnes.
Si la mission s'est déroulée sans accrocs avec l'ambassade du Burkina Faso, par exemple, il n'en a pas été de même pour le représentant de Jacob Zuma. En effet, le seul os à relever a été la représentation diplomatique sud-africaine qui a refusé de recevoir les houphouétistes. Après plusieurs tentatives pour obtenir un rendez-vous, Azize Diabaté et les siens ont du se rendre à l'évidence que la porte de l'ambassade demeurait close.
Le service de communication RHDP/ALlemagne
Les houphouétistes d'Allemagne sont donc en mission. Objectif: expliquer la crise ivoirienne à ceux qui n'en savent rien. En effet, suite à la campagne d'intoxication entreprise par les refondateurs à l'extérieur, certaines élites africaines ont pensé que la crise ivoirienne était le fait de la ténébreuse françafrique ou de l'impérialisme occidental. Azize Diabaté et sa délégation ont donc rencontré les diplomates africains en poste à Berlin, pour expliquer que le peuple ivoirien a voté librement et que le président sortant refuse de reconnaître le verdict des urnes.
Si la mission s'est déroulée sans accrocs avec l'ambassade du Burkina Faso, par exemple, il n'en a pas été de même pour le représentant de Jacob Zuma. En effet, le seul os à relever a été la représentation diplomatique sud-africaine qui a refusé de recevoir les houphouétistes. Après plusieurs tentatives pour obtenir un rendez-vous, Azize Diabaté et les siens ont du se rendre à l'évidence que la porte de l'ambassade demeurait close.
Le service de communication RHDP/ALlemagne