C`est la panique totale chez Ouattara et ses affidés. Cela s`est traduit hier par l’attitude de la horde de ses militants endoctrinés qu’il a lâchés comme des fauves sur le président sud-africain, Jacob Zuma, au Golf Hôtel.
12H30, le chef de l’Etat de l’Afrique du Sud arrive au quartier général de Ouattara. Il est le premier des quatre chefs d’Etat à arriver sur les lieux pour discuter avec le poulain de Nicolas Sarkozy. Les militants du Rdr parqués en ce lieux se mettent à huer le président Zuma. Les autres chefs d’Etat arrivent. Les deux parties se retirent pour un huis clos. Environ 3h de temps après, la réunion prend fin. Entretemps, le hall de l’hôtel bouillonne de colère. Il a appris, depuis 13h sur la radio française Rfi que l’Afrique du Sud propose un partage du pouvoir entre le président Gbagbo et l’ex-Premier ministre Alassane Ouattara ou la reprise totale des élections. Quand Zuma sort, les injures fusent de partout. «Zuma voleur, traître, assassin ! Vas avec Gbagbo !», entend-on dans la foule hystérique. Dehors, les partisans d’Alassane sont très hostiles. Ils cherchent à lyncher le président du pays le plus puissant d’Afrique. La menace est réelle. La garde de Zuma redouble de vigilance et arrive à conduire le président dans son véhicule de commandement. Elle dresse un cordon de sécurité autour de la voiture qui se lance vers la sortie de l’hôtel et se met hors de
danger.
On venait de frôler le pire. Ouattara a commis un acte irrévérencieux qui va certainement lui coûter très cher. Mais, en réalité, il n’y a rien d’étonnant en ce qui concerne le RDR et son président. La violence leur colle à la peau.
Coulibaly Zié Oumar
12H30, le chef de l’Etat de l’Afrique du Sud arrive au quartier général de Ouattara. Il est le premier des quatre chefs d’Etat à arriver sur les lieux pour discuter avec le poulain de Nicolas Sarkozy. Les militants du Rdr parqués en ce lieux se mettent à huer le président Zuma. Les autres chefs d’Etat arrivent. Les deux parties se retirent pour un huis clos. Environ 3h de temps après, la réunion prend fin. Entretemps, le hall de l’hôtel bouillonne de colère. Il a appris, depuis 13h sur la radio française Rfi que l’Afrique du Sud propose un partage du pouvoir entre le président Gbagbo et l’ex-Premier ministre Alassane Ouattara ou la reprise totale des élections. Quand Zuma sort, les injures fusent de partout. «Zuma voleur, traître, assassin ! Vas avec Gbagbo !», entend-on dans la foule hystérique. Dehors, les partisans d’Alassane sont très hostiles. Ils cherchent à lyncher le président du pays le plus puissant d’Afrique. La menace est réelle. La garde de Zuma redouble de vigilance et arrive à conduire le président dans son véhicule de commandement. Elle dresse un cordon de sécurité autour de la voiture qui se lance vers la sortie de l’hôtel et se met hors de
danger.
On venait de frôler le pire. Ouattara a commis un acte irrévérencieux qui va certainement lui coûter très cher. Mais, en réalité, il n’y a rien d’étonnant en ce qui concerne le RDR et son président. La violence leur colle à la peau.
Coulibaly Zié Oumar