A la fin de son 16e sommet, tenu à Addis-Abeba, le lundi 31 janvier 2011, l'Union africaine a mis sur pied un panel de cinq (5) chefs d'Etat africains pour se pencher sur la crise post-électorale ivoirienne aux fins d'y mettre un terme. L'Union africaine a pris soin de préciser que c'est un panel zonal qui représente les cinq régions du continent africain. Le représentant de l'Afrique occidentale où se trouve la Côte d'Ivoire s'appelle Blaise Compaoré, président du Faso, qui connaît très bien le dossier ivoirien pour en avoir été le Facilitateur qui a permis de signer un accord qui a abouti à des élections transparentes, remportées par M. Alassane Ouattara à 54,10% des voix.
Dans sa logique de confisquer le pouvoir, M. Gbagbo a rejeté les conclusions de sept missions auprès de lui pour lui demander de reconnaître sa défaite. Et à la veille de l'arrivée du panel zonal, il envoie ses partisans proférer des propos hostiles à l'encontre du représentant de l'Afrique de l'Ouest, Blaise Compaoré. Gbagbo, par les déclarations de ses femmes et jeunes patriotes, demande même sa récusation du panel. Effectivement, le président du Faso a choisi sagement de ne pas venir en Côte d'Ivoire, le lundi 21 février 2011. Ce n'est point par peur. Mais, il faut rester au-dessus de la mêlée des loups qui hurlent. En effet, Gbagbo Laurent, avec l'absence de Blaise Compaoré, croyait pouvoir amener l'Ua à se dédire comptant sur le soutien de son ami, Jacob Zuma d'Afrique du Sud. Mais, c'est là qu'il s'est planté le doigt dans l'œil. Après la mission des experts, tout était déjà bouclé et décidé : Alasane Ouattara est le président de la Côte d'Ivoire. Réuni à Nouakchott, en Mauritanie, le 20 février 2011, le panel, à l'unanimité, a entériné la décision de l'Ua, prise le 31 janvier 2011, à savoir Alassane Ouattara, vainqueur du scrutin du 28 novembre 2010.
Dans sa logique de confisquer le pouvoir, M. Gbagbo a rejeté les conclusions de sept missions auprès de lui pour lui demander de reconnaître sa défaite. Et à la veille de l'arrivée du panel zonal, il envoie ses partisans proférer des propos hostiles à l'encontre du représentant de l'Afrique de l'Ouest, Blaise Compaoré. Gbagbo, par les déclarations de ses femmes et jeunes patriotes, demande même sa récusation du panel. Effectivement, le président du Faso a choisi sagement de ne pas venir en Côte d'Ivoire, le lundi 21 février 2011. Ce n'est point par peur. Mais, il faut rester au-dessus de la mêlée des loups qui hurlent. En effet, Gbagbo Laurent, avec l'absence de Blaise Compaoré, croyait pouvoir amener l'Ua à se dédire comptant sur le soutien de son ami, Jacob Zuma d'Afrique du Sud. Mais, c'est là qu'il s'est planté le doigt dans l'œil. Après la mission des experts, tout était déjà bouclé et décidé : Alasane Ouattara est le président de la Côte d'Ivoire. Réuni à Nouakchott, en Mauritanie, le 20 février 2011, le panel, à l'unanimité, a entériné la décision de l'Ua, prise le 31 janvier 2011, à savoir Alassane Ouattara, vainqueur du scrutin du 28 novembre 2010.