En attendant les décisions du panel qui ne sont pas en sa faveur, Alassane Ouattara a décidé de massacrer les Ivoiriens.
Avant les décisions du panel de l’Ua sur la crise en Côte d’Ivoire prévues pour être rendues publiques le 4 mars 2011 à Nouakchott, la rébellion pro-Ouattara multiplie et intensifie les attaques contre les Forces républicaines sur les fronts Ouest (Zouan-Hounien, Bin-Houyé, Toulépleu), Centre (Tiébissou, Yamoussoukro, Daoukro) et Sud (Abidjan). Selon des observateurs, elle confirme ainsi sur le terrain les déclarations de Guillaume Soro qui confiait, le 20 février, ne pas «croire» en la mission du Panel, et révélait que son camp était «armé et déterminé» à faire la guerre pour chasser le président réélu Laurent Gbagbo. Refusant sa défaite constatée par le Conseil constitutionnel, et rejetant par avance toute solution pacifique du panel de l’Ua, Alassane Ouattara de son Qg du Golf Hôtel tente de renverser le président démocratiquement élu. La ville de Zouan-Hounien, dernier poste avancé des forces républicaines à l’Ouest, est attaquée tôt le matin du jeudi par des rebelles pro-Ouattara. Sur le front centre, les positions des forces armées nationales sont également prises pour cibles à Tiébissou mais aussi à Daoukro et à Yamoussoukro, capitale politique du pays. A Abidjan, capitale économique, des commissariats de police dans les quartiers populaires de Yopougon, Koumassi, Abobo ainsi que le Camp commando d’Abobo, font l’objet d’attaques rebelles qui tentent de s’en assurer le contrôle. La rébellion pro-Ouattara est activement soutenue par les autorités du Burkina Faso qui constitue sa base arrière. Elle bénéficie en outre de l’appui des dirigeants français et de certains fonctionnaires de l’Onu. Des informations récurrentes et concordantes indiquent que l’Opération des Nation unies en Côte d’Ivoire (Onuci) et la Licorne (Force française) lui fournissent un appui logistique en assurant notamment le transport terrestre et aérien de combattants rebelles, la mise à disposition d’armements lourds et légers. Selon des documents dont Directscoop a obtenu copie, ces forces fournissent également des renseignements sur les positions des Fds au profit de la rébellion. Elles offrent enfin des médias (Onuci-fm, radio et télé pirate) à la rébellion. En Côte d’Ivoire, la rébellion pro-Ouattara s’est rendue coupable à plusieurs reprises, d’atteintes aux droits humains. Elle s’est illustrée par de nombreux cas de viols, de détentions arbitraires, de mauvais traitement commis sur des populations civiles, d’exécutions sommaires de gendarmes et de civils. Elle a éventré les chambres fortes des agences locales de la Banque centrale des Etats de l’afrique de l’Ouest (Bceao) et emporté le contenu celles-ci estimé à plusieurs milliards de francs Cfa. Depuis 2002, la rébellion pro-Ouattara occupe la moitié Nord du pays. Elle a exigé, en échange de son désarmement, l’acceptation de la candidature de Alassane Ouattara à la présidence de la République, le poste de premier ministre ainsi que le partage des postes ministériels dans le gouvernement, une représentation majoritaire à la Commission électorale indépendante. Toutes ces exigences ont été satisfaites, mais elle a refusé le désarmement de ses troupes. «A l’exception d’Amnesty International qui a mentionné récemment ses méfaits et de quelques organisations locales qui l’ont dénoncé, la rébellion pro-Ouattara n’a jamais été interpellée, ni par la Cour pénale internationale, ni par l’Onu», notent certains observateurs. Elle n’a jamais été contrainte de déposer les armes.
DirectScoop.net
Avant les décisions du panel de l’Ua sur la crise en Côte d’Ivoire prévues pour être rendues publiques le 4 mars 2011 à Nouakchott, la rébellion pro-Ouattara multiplie et intensifie les attaques contre les Forces républicaines sur les fronts Ouest (Zouan-Hounien, Bin-Houyé, Toulépleu), Centre (Tiébissou, Yamoussoukro, Daoukro) et Sud (Abidjan). Selon des observateurs, elle confirme ainsi sur le terrain les déclarations de Guillaume Soro qui confiait, le 20 février, ne pas «croire» en la mission du Panel, et révélait que son camp était «armé et déterminé» à faire la guerre pour chasser le président réélu Laurent Gbagbo. Refusant sa défaite constatée par le Conseil constitutionnel, et rejetant par avance toute solution pacifique du panel de l’Ua, Alassane Ouattara de son Qg du Golf Hôtel tente de renverser le président démocratiquement élu. La ville de Zouan-Hounien, dernier poste avancé des forces républicaines à l’Ouest, est attaquée tôt le matin du jeudi par des rebelles pro-Ouattara. Sur le front centre, les positions des forces armées nationales sont également prises pour cibles à Tiébissou mais aussi à Daoukro et à Yamoussoukro, capitale politique du pays. A Abidjan, capitale économique, des commissariats de police dans les quartiers populaires de Yopougon, Koumassi, Abobo ainsi que le Camp commando d’Abobo, font l’objet d’attaques rebelles qui tentent de s’en assurer le contrôle. La rébellion pro-Ouattara est activement soutenue par les autorités du Burkina Faso qui constitue sa base arrière. Elle bénéficie en outre de l’appui des dirigeants français et de certains fonctionnaires de l’Onu. Des informations récurrentes et concordantes indiquent que l’Opération des Nation unies en Côte d’Ivoire (Onuci) et la Licorne (Force française) lui fournissent un appui logistique en assurant notamment le transport terrestre et aérien de combattants rebelles, la mise à disposition d’armements lourds et légers. Selon des documents dont Directscoop a obtenu copie, ces forces fournissent également des renseignements sur les positions des Fds au profit de la rébellion. Elles offrent enfin des médias (Onuci-fm, radio et télé pirate) à la rébellion. En Côte d’Ivoire, la rébellion pro-Ouattara s’est rendue coupable à plusieurs reprises, d’atteintes aux droits humains. Elle s’est illustrée par de nombreux cas de viols, de détentions arbitraires, de mauvais traitement commis sur des populations civiles, d’exécutions sommaires de gendarmes et de civils. Elle a éventré les chambres fortes des agences locales de la Banque centrale des Etats de l’afrique de l’Ouest (Bceao) et emporté le contenu celles-ci estimé à plusieurs milliards de francs Cfa. Depuis 2002, la rébellion pro-Ouattara occupe la moitié Nord du pays. Elle a exigé, en échange de son désarmement, l’acceptation de la candidature de Alassane Ouattara à la présidence de la République, le poste de premier ministre ainsi que le partage des postes ministériels dans le gouvernement, une représentation majoritaire à la Commission électorale indépendante. Toutes ces exigences ont été satisfaites, mais elle a refusé le désarmement de ses troupes. «A l’exception d’Amnesty International qui a mentionné récemment ses méfaits et de quelques organisations locales qui l’ont dénoncé, la rébellion pro-Ouattara n’a jamais été interpellée, ni par la Cour pénale internationale, ni par l’Onu», notent certains observateurs. Elle n’a jamais été contrainte de déposer les armes.
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