BRUXELLES - L`Union européenne, par la voix de son président Herman Van Rompuy, a de nouveau appelé lundi le président ivoirien sortant Laurent Gbagbo à partir, alors que l`offensive contre lui semble
entrer dans sa phase finale.
"M. Gbagbo doit partir pour que la paix s`impose. J`ai exprimé mon soutien
pour les efforts visant à ce qu`il démissionne immédiatement", a indiqué M.
Van Rompuy dans un communiqué publié à l`issue d`une rencontre à Bruxelles
avec le président de la Commission de l`Union africaine, Jean Ping.
M. Van Rompuy s`est dit "horrifié" par les informations sur "de graves
violations des droits de l`Homme" en Côte d`Ivoire, et a salué "les efforts en
cours de la mission des Nations unies en Côte d`Ivoire pour protéger la
population civile".
La chef de la diplomatie de l`UE, Catherine Ashton, avait déjà estimé
vendredi soir que Laurent Gbagbo devait "démissionner immédiatement" et se
"rendre aux autorités légales".
Mme Ashton avait aussi appelé toutes les parties à "protéger la population
civile", une demande répétée lundi par la commissaire européenne en charge de
l`aide humanitaire, Kristalina Georgieva.
Plus de quatre mois après le début d`une crise post-électorale qui a
dégénéré en quasi-guerre civile, les forces de l`ONU et de la France ont
frappé lundi à Abidjan les derniers bastions de Laurent Gbagbo, dont son
palais et sa résidence, le jour où les combattants d`Alassane Ouattara, le
président reconnu par la communauté internationale, engageaient une offensive
pour en finir avec son régime.
entrer dans sa phase finale.
"M. Gbagbo doit partir pour que la paix s`impose. J`ai exprimé mon soutien
pour les efforts visant à ce qu`il démissionne immédiatement", a indiqué M.
Van Rompuy dans un communiqué publié à l`issue d`une rencontre à Bruxelles
avec le président de la Commission de l`Union africaine, Jean Ping.
M. Van Rompuy s`est dit "horrifié" par les informations sur "de graves
violations des droits de l`Homme" en Côte d`Ivoire, et a salué "les efforts en
cours de la mission des Nations unies en Côte d`Ivoire pour protéger la
population civile".
La chef de la diplomatie de l`UE, Catherine Ashton, avait déjà estimé
vendredi soir que Laurent Gbagbo devait "démissionner immédiatement" et se
"rendre aux autorités légales".
Mme Ashton avait aussi appelé toutes les parties à "protéger la population
civile", une demande répétée lundi par la commissaire européenne en charge de
l`aide humanitaire, Kristalina Georgieva.
Plus de quatre mois après le début d`une crise post-électorale qui a
dégénéré en quasi-guerre civile, les forces de l`ONU et de la France ont
frappé lundi à Abidjan les derniers bastions de Laurent Gbagbo, dont son
palais et sa résidence, le jour où les combattants d`Alassane Ouattara, le
président reconnu par la communauté internationale, engageaient une offensive
pour en finir avec son régime.