Le Secrétariat National à la Solidarité et aux Victimes de Guerre (SNVG) n’est pas resté lundi en marge de la reprise du service dans l’administration publique, à l’appelle du Président Alassane Ouattara et de son Premier Ministre Guillaume Kigbafori Soro.
Cette reprise des activités après quatre mois de crise post électorale a été marquée par une visite des locaux des différents départements du SNVG par Mme le Secrétaire National, Dr Fatoumata Traoré Diop, destinée à faire un constat d’huissier.
Ainsi, dans la commune de Cocody, la délégation a visité à pas de course le cabinet sis à Angré, le Département des Victimes de Guerre à Attoban et le Département de la Solidarité au Vallon.
Dans la Commune du Plateau, le quartier administratif et des affaires de la capitale économique ivoirienne, la Cellule Genre et SIDA, la Cellule de la Solidarité et de l’Action Humanitaire (CSAH) et le Centre de Prise en Charge Psycho-social (CAPPS) situés respectivement au 16ème, 17ème et 18ème étage de l’immeuble Alpha 2000 ont été également visités de même que le Département des Affaires Administratives et Financières, situé dans la cours de l’Agence Ivoirienne de Presse (AIP).
Toutes ces visites se sont effectuées sous le regard de Me Diakaria Kouyaté, Huissier de Justice, accompagné par deux de ses confrères notamment Me Marie Affoué Kouamé et Me Yacouba Bamba.
« Après le second tour de la présidentielle du 28 novembre dernier, c’est dommage qu’on retrouve les locaux dans cet état de dégradation et de délabrement » a déploré Mme le Secrétaire National, Dr Traoré Diop en soutenant que « la Côte d’Ivoire n’avait pas besoin de cette situation ».
Décryptant les perspectives pour les Victimes de Guerre notamment celles de la crise post électorale, elle a rappelé que son institution avait déjà fait un travail de fond qui a consisté à définir les critères d’identification des Victimes de Guerres et les modalités de réparations des préjudices.
« Nous avons déjà deux projets d’ordonnances qui définissent les critères d’identification des Victimes de Guerre, la période prise en compte et les modalités de réparation des préjudices. Ces résultats ont été obtenus avec la participation de leur Excellence Abraham Doukouré de la CEDEAO et Abraham Nyonsamba de l’UA mais aussi des experts des Nations Unies » a expliqué le Secrétaire National entouré de ses collaborateurs.
« Plus jamais de Victimes de Guerre en Côte d’Ivoire » tel était selon Dr Traoré Diop le leitmotiv du SNSVG. Mais, a-t-elle regretté « le sort a voulu qu’on en ait encore après les élections ».
« Je pense que nous avons un dossier important que nous allons verser au nouveau gouvernement pour qu’il s’en inspire » a conclu Mme le Secrétaire National.
S’agissant du constat des locaux, l’huissier de justice a fait le point au terme de la visite qui s’est achevée dans l’après midi.
« Nous avons fait le constat des différents locaux qui sont pour certains dans un état de dégradation et de destruction » a déclaré laconiquement Me Kouyaté en précisant qu’il tentera de rentrer en contact avec ceux qui posséderaient les clefs des bureaux afin de les ouvrir.
« Dans un délais raisonnable, si nous n’avons pas les clefs, nous viendrons alors avec un serrurier pour ouvrir les portes afin de faire l’état des lieux à l’intérieur des bâtiments » a-t-il ajouté.
La vie revient peu à peu à la normale après quatre mois de crise marqués par plusieurs centaines de morts et des pillages de biens publics et privés.
Cette reprise des activités après quatre mois de crise post électorale a été marquée par une visite des locaux des différents départements du SNVG par Mme le Secrétaire National, Dr Fatoumata Traoré Diop, destinée à faire un constat d’huissier.
Ainsi, dans la commune de Cocody, la délégation a visité à pas de course le cabinet sis à Angré, le Département des Victimes de Guerre à Attoban et le Département de la Solidarité au Vallon.
Dans la Commune du Plateau, le quartier administratif et des affaires de la capitale économique ivoirienne, la Cellule Genre et SIDA, la Cellule de la Solidarité et de l’Action Humanitaire (CSAH) et le Centre de Prise en Charge Psycho-social (CAPPS) situés respectivement au 16ème, 17ème et 18ème étage de l’immeuble Alpha 2000 ont été également visités de même que le Département des Affaires Administratives et Financières, situé dans la cours de l’Agence Ivoirienne de Presse (AIP).
Toutes ces visites se sont effectuées sous le regard de Me Diakaria Kouyaté, Huissier de Justice, accompagné par deux de ses confrères notamment Me Marie Affoué Kouamé et Me Yacouba Bamba.
« Après le second tour de la présidentielle du 28 novembre dernier, c’est dommage qu’on retrouve les locaux dans cet état de dégradation et de délabrement » a déploré Mme le Secrétaire National, Dr Traoré Diop en soutenant que « la Côte d’Ivoire n’avait pas besoin de cette situation ».
Décryptant les perspectives pour les Victimes de Guerre notamment celles de la crise post électorale, elle a rappelé que son institution avait déjà fait un travail de fond qui a consisté à définir les critères d’identification des Victimes de Guerres et les modalités de réparations des préjudices.
« Nous avons déjà deux projets d’ordonnances qui définissent les critères d’identification des Victimes de Guerre, la période prise en compte et les modalités de réparation des préjudices. Ces résultats ont été obtenus avec la participation de leur Excellence Abraham Doukouré de la CEDEAO et Abraham Nyonsamba de l’UA mais aussi des experts des Nations Unies » a expliqué le Secrétaire National entouré de ses collaborateurs.
« Plus jamais de Victimes de Guerre en Côte d’Ivoire » tel était selon Dr Traoré Diop le leitmotiv du SNSVG. Mais, a-t-elle regretté « le sort a voulu qu’on en ait encore après les élections ».
« Je pense que nous avons un dossier important que nous allons verser au nouveau gouvernement pour qu’il s’en inspire » a conclu Mme le Secrétaire National.
S’agissant du constat des locaux, l’huissier de justice a fait le point au terme de la visite qui s’est achevée dans l’après midi.
« Nous avons fait le constat des différents locaux qui sont pour certains dans un état de dégradation et de destruction » a déclaré laconiquement Me Kouyaté en précisant qu’il tentera de rentrer en contact avec ceux qui posséderaient les clefs des bureaux afin de les ouvrir.
« Dans un délais raisonnable, si nous n’avons pas les clefs, nous viendrons alors avec un serrurier pour ouvrir les portes afin de faire l’état des lieux à l’intérieur des bâtiments » a-t-il ajouté.
La vie revient peu à peu à la normale après quatre mois de crise marqués par plusieurs centaines de morts et des pillages de biens publics et privés.