Alassane Ouattara a été investi comme Président de la République de Côte d’Ivoire le samedi 21 mai 2011 à Yamoussoukro. Plusieurs cadres ivoiriens ont pris part à cette rencontre dont le préfet de la région de Bouaké, Aka Konin. Ce dernier nous a livré ses sentiments sur cette manifestation et saisi l’occasion pour se prononcer sur l’actualité sociopolitique.
M. Le préfet, vous venez de prendre part à la cérémonie d’investiture du Président de la République. Quels sont les sentiments qui vous animent ?
Ce sont des sentiments de joie, de grande satisfaction vu l’ampleur de la cérémonie, vu le nombre des chefs d’Etat présents, vu la grande mobilisation de la population, nous ne pouvons qu’être heureux et fier. C’est le signe que notre pays est sur la bonne voie pour son redécollage.
Le chef de l’Etat lors de son allocution a insisté sur la nécessité pour les Ivoiriens de se réconcilier. Une commission dialogue, vérité et réconciliation afin de panser les plaies a été mise en place. Pensez-vous que cette réconciliation est possible ?
Oui, la réconciliation est possible. Tout le monde était là sans distinction d’ethnie, de région et de religion. Vous avez vu vous-même toutes les communautés à cette cérémonie. Il y avait les musulmans, les chrétiens et des personnes d’autres religions. Tous les partis politiques étaient représentés à cette investiture du Président de la République. Il y avait des personnalités politiques du Rhdp, de Lmp. Tous ont tenu à être présents à cette cérémonie pour se conformer à la volonté du peuple ivoirien qui est celle du respect des urnes. Par ce geste, nous venons tous de démontrer à la communauté internationale que la Côte d’Ivoire est une et indivisible et que les Ivoiriens veulent aller à la réconciliation nationale pour fermer la page sombre. La crise postélectorale est derrière nous.
On parle de réconciliation, mais l’on assiste toujours à des actes de vandalisme et de pillage. Quel commentaire?
C’est dommage. Mais je pense que le gouvernement va prendre des dispositions pour mettre fin à ces actes qui n’honorent pas la Côte d’Ivoire.
TAB, envoyé spécial
M. Le préfet, vous venez de prendre part à la cérémonie d’investiture du Président de la République. Quels sont les sentiments qui vous animent ?
Ce sont des sentiments de joie, de grande satisfaction vu l’ampleur de la cérémonie, vu le nombre des chefs d’Etat présents, vu la grande mobilisation de la population, nous ne pouvons qu’être heureux et fier. C’est le signe que notre pays est sur la bonne voie pour son redécollage.
Le chef de l’Etat lors de son allocution a insisté sur la nécessité pour les Ivoiriens de se réconcilier. Une commission dialogue, vérité et réconciliation afin de panser les plaies a été mise en place. Pensez-vous que cette réconciliation est possible ?
Oui, la réconciliation est possible. Tout le monde était là sans distinction d’ethnie, de région et de religion. Vous avez vu vous-même toutes les communautés à cette cérémonie. Il y avait les musulmans, les chrétiens et des personnes d’autres religions. Tous les partis politiques étaient représentés à cette investiture du Président de la République. Il y avait des personnalités politiques du Rhdp, de Lmp. Tous ont tenu à être présents à cette cérémonie pour se conformer à la volonté du peuple ivoirien qui est celle du respect des urnes. Par ce geste, nous venons tous de démontrer à la communauté internationale que la Côte d’Ivoire est une et indivisible et que les Ivoiriens veulent aller à la réconciliation nationale pour fermer la page sombre. La crise postélectorale est derrière nous.
On parle de réconciliation, mais l’on assiste toujours à des actes de vandalisme et de pillage. Quel commentaire?
C’est dommage. Mais je pense que le gouvernement va prendre des dispositions pour mettre fin à ces actes qui n’honorent pas la Côte d’Ivoire.
TAB, envoyé spécial