L`Afrique subsaharienne soutient la candidature de la ministre française des Finances Christine Lagarde à la direction générale du Fonds monétaire international (FMI), a annoncé vendredi à Lisbonne le ministre congolais des Finances Matata Mapon.
"Nous sommes encouragés par votre vision du FMI dans le monde", a affirmé à la candidate, devant la presse, le ministre de République démocratique du Congo (RDC).
Selon lui, la candidature de la ministre française répond "au profil et aux enjeux", et il s`est dit "rassuré" que Christine Lagarde restera "bienveillante" vis-à-vis de l`Afrique si elle décroche le poste.
"Nous vous souhaitons très bonne chance", a ajouté Matata Mapon. Interrogé par l`AFP, il a précisé s`exprimer au nom du "caucus" (groupe) des gouverneurs d`Afrique subsaharienne au FMI.
Prenant la parole après lui, le ministre ivoirien des Finances, Charles Koffi Diby, a également exprimé à la candidate française le soutien du groupe Afrique francophone au FMI.
"Je veux vous souhaiter plein succès (...) dans l`exercice de vos futures responsabilités, parce que nous y croyons", a-t-il lancé à Christine Lagarde. Plusieurs pays africains lui avaient déjà fait part de leur soutien, dont le Maroc, la République démocratique du Congo, le Tchad, la Guinée ou encore l`Ile Maurice.
En revanche, l`Union africaine (UA) a estimé jeudi qu`il était "temps à présent pour un non-Européen, particulièrement un Africain, d`être à la tête du FMI".
Aucun candidat africain ne s`est encore manifesté, alors que la clôture des candidatures a été fixée à ce vendredi.
Le Sud-Africain Trevor Manuel, un temps pressenti en tant que candidat des pays émergents, a annoncé vendredi qu`il préférait se consacrer à son pays.
Christine Lagarde, qui s`est déjà rendue à Brasilia, New Delhi et Pékin dans le cadre de sa campagne pour succéder à son compatriote Dominique Strauss-Kahn inculpé à New York pour tentative présumée de viol, a rencontré vendredi matin à Lisbonne le président de la BAD Donald Kaberuka et certains de ses homologues africains.
"Nous sommes encouragés par votre vision du FMI dans le monde", a affirmé à la candidate, devant la presse, le ministre de République démocratique du Congo (RDC).
Selon lui, la candidature de la ministre française répond "au profil et aux enjeux", et il s`est dit "rassuré" que Christine Lagarde restera "bienveillante" vis-à-vis de l`Afrique si elle décroche le poste.
"Nous vous souhaitons très bonne chance", a ajouté Matata Mapon. Interrogé par l`AFP, il a précisé s`exprimer au nom du "caucus" (groupe) des gouverneurs d`Afrique subsaharienne au FMI.
Prenant la parole après lui, le ministre ivoirien des Finances, Charles Koffi Diby, a également exprimé à la candidate française le soutien du groupe Afrique francophone au FMI.
"Je veux vous souhaiter plein succès (...) dans l`exercice de vos futures responsabilités, parce que nous y croyons", a-t-il lancé à Christine Lagarde. Plusieurs pays africains lui avaient déjà fait part de leur soutien, dont le Maroc, la République démocratique du Congo, le Tchad, la Guinée ou encore l`Ile Maurice.
En revanche, l`Union africaine (UA) a estimé jeudi qu`il était "temps à présent pour un non-Européen, particulièrement un Africain, d`être à la tête du FMI".
Aucun candidat africain ne s`est encore manifesté, alors que la clôture des candidatures a été fixée à ce vendredi.
Le Sud-Africain Trevor Manuel, un temps pressenti en tant que candidat des pays émergents, a annoncé vendredi qu`il préférait se consacrer à son pays.
Christine Lagarde, qui s`est déjà rendue à Brasilia, New Delhi et Pékin dans le cadre de sa campagne pour succéder à son compatriote Dominique Strauss-Kahn inculpé à New York pour tentative présumée de viol, a rencontré vendredi matin à Lisbonne le président de la BAD Donald Kaberuka et certains de ses homologues africains.