Comment l’enseignement technique et la formation professionnelle peuvent-ils contribuer efficacement à la relance économique de notre pays ? Quelles reformes du système pourrons nous mettre en œuvre pour atteindre cet objectif ? Voici quelques unes des préoccupations que le premier responsable de l’enseignement technique et de la formation professionnelle en Côte d’ivoire a bien voulu partager avec l’ensemble des acteurs de son département à l’occasion de sa visite de travail au lycée professionnel de Grand Lahou.
En effet, pour la quatrième journée des rencontres avec le personnel des établissements sous sa tutelle sur leurs lieux de travail, le Ministre Albert FLINDE a voulu dresser un bilan : ‘’ toutes les écoles de notre système que nous avons visitées, souffrent des mêmes difficultés. Il s’agit de la non maintenance du matériel didactique.’’ A-t-il révélé tout en évoquant quelques pistes de réflexions pour apporter des solutions à cet état de fait. Il a souligné par la suite qu‘’ Il faudra sans doute être plus regardant sur le choix des matériels à mettre à disposition de nos écoles techniques ; il faut se rassurer des possibilités de maintenance avant de prendre un quelconque engagement.’’ Avant de partager avec l’assistance ses objectifs à la tête du département de l’enseignement technique et de la formation professionnelle : Pour lui, ’’ Notre priorité est de tout mettre en œuvre pour sauver l’année scolaire par l’organisation d’examens de fin d’année propres. Ensuite, nous devons apporter des solutions concrètes à la problématique de notre contribution à la relance économique de notre pays par la mise à disposition des entreprises de techniciens qualifiés. Enfin nous allons engager des reformes idoines pour améliorer la qualité de nos prestations. ‘’
Le service de communication
En effet, pour la quatrième journée des rencontres avec le personnel des établissements sous sa tutelle sur leurs lieux de travail, le Ministre Albert FLINDE a voulu dresser un bilan : ‘’ toutes les écoles de notre système que nous avons visitées, souffrent des mêmes difficultés. Il s’agit de la non maintenance du matériel didactique.’’ A-t-il révélé tout en évoquant quelques pistes de réflexions pour apporter des solutions à cet état de fait. Il a souligné par la suite qu‘’ Il faudra sans doute être plus regardant sur le choix des matériels à mettre à disposition de nos écoles techniques ; il faut se rassurer des possibilités de maintenance avant de prendre un quelconque engagement.’’ Avant de partager avec l’assistance ses objectifs à la tête du département de l’enseignement technique et de la formation professionnelle : Pour lui, ’’ Notre priorité est de tout mettre en œuvre pour sauver l’année scolaire par l’organisation d’examens de fin d’année propres. Ensuite, nous devons apporter des solutions concrètes à la problématique de notre contribution à la relance économique de notre pays par la mise à disposition des entreprises de techniciens qualifiés. Enfin nous allons engager des reformes idoines pour améliorer la qualité de nos prestations. ‘’
Le service de communication