Abidjan – Le Président de la République, Alassane Ouattara vient de signer une ordonnance établissant le budget de l’Etat qui s’équilibre à quelque 3.050.500.000 FCFA.
Selon le ministre de l’Economie et des Finances, Charles Diby Koffi, ce budget est bâti sur l'hypothèse de la croissance négative de l'économie ivoirienne de l'ordre de 6,3% et la reprise de la coopération avec les partenaires au développement.
Le budget tient compte des dépenses relatives à la restauration de l’autorité de l’Etat sur toute l’étendue du territoire national, la restauration de la sécurisation des biens sociaux, la statisfaction des besoins sociaux immédiats des populations, le démarrage de certains investissements nationaux pour impulser l'activité.
Les ressources internes se chiffrent à 2.086 milliards FCFA, externes à 603 milliards et autres financements à conclure, à 360 milliards. La dette représente 1.291,5 milliards, la masse salariale à 727,3 milliards. En outre, 84,9 milliards sont consacrés à la sortie de crise, 340,1 milliards aux investissements, 46,3 milliards aux abonnements et 84,9 milliards à la sortie de crise.
La priorité du budget est accordée à la lutte contre la pauvreté, avec plus de 840 milliards FCFA.
Les dépenses concernent les grands travaux d'investissement pour 40 milliards, le fonds d'investissement en milieu rural pour 10 milliards et le Programme présidentiel d'urgence (PPU) à 45 milliards.
En outre, l'argentier ivoirien a annoncé la prise de dispositions particulières pour encadrer l'exécution du budget. A cet effet, l'exécution des dépenses se fera en fonction de la mobilisation des des récettes et les directeurs des affaires administrives et financières (DAAF) de tous les ministères seront évalués chaque trimestre.
Selon le ministre de l’Economie et des Finances, Charles Diby Koffi, ce budget est bâti sur l'hypothèse de la croissance négative de l'économie ivoirienne de l'ordre de 6,3% et la reprise de la coopération avec les partenaires au développement.
Le budget tient compte des dépenses relatives à la restauration de l’autorité de l’Etat sur toute l’étendue du territoire national, la restauration de la sécurisation des biens sociaux, la statisfaction des besoins sociaux immédiats des populations, le démarrage de certains investissements nationaux pour impulser l'activité.
Les ressources internes se chiffrent à 2.086 milliards FCFA, externes à 603 milliards et autres financements à conclure, à 360 milliards. La dette représente 1.291,5 milliards, la masse salariale à 727,3 milliards. En outre, 84,9 milliards sont consacrés à la sortie de crise, 340,1 milliards aux investissements, 46,3 milliards aux abonnements et 84,9 milliards à la sortie de crise.
La priorité du budget est accordée à la lutte contre la pauvreté, avec plus de 840 milliards FCFA.
Les dépenses concernent les grands travaux d'investissement pour 40 milliards, le fonds d'investissement en milieu rural pour 10 milliards et le Programme présidentiel d'urgence (PPU) à 45 milliards.
En outre, l'argentier ivoirien a annoncé la prise de dispositions particulières pour encadrer l'exécution du budget. A cet effet, l'exécution des dépenses se fera en fonction de la mobilisation des des récettes et les directeurs des affaires administrives et financières (DAAF) de tous les ministères seront évalués chaque trimestre.