Le député de Bouaflé, Allomo Kouassi Paulin, était le samedi 25 juin dernier face aux populations de Bouaké. Objectif, prononcer une conférence publique sur le thème : ‘‘ La marche de la Côte d’Ivoire vers la démocratie : Le rôle du Premier ministre Soro Kigbafori Guillaume. Une conférence organisée par le mouvement ivoirien pour la stabilité politique (MISPO). L’honorable député est revenu sur son désir de voir dissout le Front Populaire Ivoirien (Fpi), ancien régime au pouvoir.
Véritable coup d’éloge à l’endroit des forces nouvelles de Guillaume Soro et de dénigrement de l’ancien Président Laurent Gbagbo, qui nous ont été donnés d’entendre au cours de la conférence publique, animée par le député Allomo Paulin Kouassi au Ran hôtel de Bouaké. Devant un grand public, le cadre du Pdci a dit, sans l’avoir dit ouvertement, que ‘‘les forces nouvelles avaient tort d’avoir eu très tôt raison’’. « Que serait devenue la Côte d’Ivoire, si le Premier ministre Guillaume Soro et les forces nouvelles n’avaient pas existé » ? S’est interrogé le conférencier. A l’en croire, Guillaume Soro et, les forces nouvelles ont posé des actes qui méritent d’être salués. Pèle mêle, le député a fait savoir qu’en 2002, les forces nouvelles ont été mal comprises lorsqu’elles ont pris les armes, pour renverser le pouvoir Gbagbo « parce que Gbagbo était un sanguinaire, un dictateur. On n’a pas cru en elles. Malgré tout, elles ont accepté de cohabiter avec le régime de Gbagbo après les accords passés ». Deuxième acte majeur posé selon le conférencier, « les forces nouvelles et le premier ministre ont poussé le dictateur à organiser des élections libres transparentes avec une commission électorale indépendante, ramenant la Côte d’Ivoire vers le chemin de la démocratie ». La participation à la sécurisation des élections présidentielles des forces nouvelles a évité, aux dires de M. Allomo, « le bourrage des urnes et toutes les tentatives de fraudes pour éviter un passage en force du candidat Gbagbo ». La reconnaissance des résultats des urnes et le soutien au vainqueur des élections du 28 novembre 2010, en la personne de M. Alassane Ouattara « est un acte à saluer ». C’est pourquoi, estime le pensionnaire de l’hémicycle ivoirien, «il faut comprendre que la nomination de Guillaume Soro au poste de Premier ministre, est une reconnaissance pour avoir libéré la Côte d’Ivoire des griffes du dictateur et de l’assassin Laurent Gbagbo». Le conférencier a réitéré son désir de voir le FPI dissout. Le député avait à ses côtés, le préfet de région Aka Konin et les responsables politiques des forces nouvelles.
Bosco de Paré
Véritable coup d’éloge à l’endroit des forces nouvelles de Guillaume Soro et de dénigrement de l’ancien Président Laurent Gbagbo, qui nous ont été donnés d’entendre au cours de la conférence publique, animée par le député Allomo Paulin Kouassi au Ran hôtel de Bouaké. Devant un grand public, le cadre du Pdci a dit, sans l’avoir dit ouvertement, que ‘‘les forces nouvelles avaient tort d’avoir eu très tôt raison’’. « Que serait devenue la Côte d’Ivoire, si le Premier ministre Guillaume Soro et les forces nouvelles n’avaient pas existé » ? S’est interrogé le conférencier. A l’en croire, Guillaume Soro et, les forces nouvelles ont posé des actes qui méritent d’être salués. Pèle mêle, le député a fait savoir qu’en 2002, les forces nouvelles ont été mal comprises lorsqu’elles ont pris les armes, pour renverser le pouvoir Gbagbo « parce que Gbagbo était un sanguinaire, un dictateur. On n’a pas cru en elles. Malgré tout, elles ont accepté de cohabiter avec le régime de Gbagbo après les accords passés ». Deuxième acte majeur posé selon le conférencier, « les forces nouvelles et le premier ministre ont poussé le dictateur à organiser des élections libres transparentes avec une commission électorale indépendante, ramenant la Côte d’Ivoire vers le chemin de la démocratie ». La participation à la sécurisation des élections présidentielles des forces nouvelles a évité, aux dires de M. Allomo, « le bourrage des urnes et toutes les tentatives de fraudes pour éviter un passage en force du candidat Gbagbo ». La reconnaissance des résultats des urnes et le soutien au vainqueur des élections du 28 novembre 2010, en la personne de M. Alassane Ouattara « est un acte à saluer ». C’est pourquoi, estime le pensionnaire de l’hémicycle ivoirien, «il faut comprendre que la nomination de Guillaume Soro au poste de Premier ministre, est une reconnaissance pour avoir libéré la Côte d’Ivoire des griffes du dictateur et de l’assassin Laurent Gbagbo». Le conférencier a réitéré son désir de voir le FPI dissout. Le député avait à ses côtés, le préfet de région Aka Konin et les responsables politiques des forces nouvelles.
Bosco de Paré