Privés d’indemnités depuis l’année précédente, les inspecteurs ont pris le taureau par les cornes en interpellant le gouvernement.
Frappés en septembre 2010, d’une suspension d’indemnités, les inspecteurs de l’Enseignement technique ont décidé d’interpeller les autorités. A ce sujet, rappelle Tanoh Brahiman responsable de communication dans ce département, 41 inspecteurs en chef ont été nommés en février 2010 par le ministre Moussa Dosso. «Mais après avoir perçu, à juste titre, pendant 7 mois les indemnités liées à leur fonction, fonction qu’ils continuent d’ailleurs d’exercer, ces inspecteurs sont frappés, depuis septembre 2010, d’une décision de suspension du paiement desdites indemnités sur instruction du ministre d’alors Yapo Atsé Benjamin en complicité avec Emile Guiriéoulou de la Fonction publique. La raison évoquée serait que Jean Yves Abonga Koutouan leader du Syndicat national des formateurs du ministère de l`Enseignement technique et professionnel de Côte d`Ivoire (Synafetp-ci) jugerait leurs nominations irrégulières car elles violeraient les textes en vigueur», explique-t-il. Tanoh Brahiman poursuit en révélant que cette décision politique devait à terme permettre à ces ministres de La majorité présidentielle (Lmp) de nommer leurs militants en lieu en place de ceux promus par Moussa Dosso. «Heureusement, les élections ont mis fin à cette mascarade. Et alors que les inspecteurs avaient grand espoir que le nouveau ministre Albert Flindé rétablirait rapidement le paiement de leurs indemnités, il se trouve que leur problème est loin d’être résolu par la faute de personnes tapies dans l’ombre qui empêchent le ministre de prendre la décision de main levée. C’est le lieu d’attirer l’attention d’Albert Flindé sur la capacité de nuisance de ces syndicalistes Lmp qui ont fait échouer Yapo Atsé Benjamin », a interpellé le responsable de communication. Les indemnités en question s’élèvent à 200.000Fcfa par mois.
Napargalè Marie
Frappés en septembre 2010, d’une suspension d’indemnités, les inspecteurs de l’Enseignement technique ont décidé d’interpeller les autorités. A ce sujet, rappelle Tanoh Brahiman responsable de communication dans ce département, 41 inspecteurs en chef ont été nommés en février 2010 par le ministre Moussa Dosso. «Mais après avoir perçu, à juste titre, pendant 7 mois les indemnités liées à leur fonction, fonction qu’ils continuent d’ailleurs d’exercer, ces inspecteurs sont frappés, depuis septembre 2010, d’une décision de suspension du paiement desdites indemnités sur instruction du ministre d’alors Yapo Atsé Benjamin en complicité avec Emile Guiriéoulou de la Fonction publique. La raison évoquée serait que Jean Yves Abonga Koutouan leader du Syndicat national des formateurs du ministère de l`Enseignement technique et professionnel de Côte d`Ivoire (Synafetp-ci) jugerait leurs nominations irrégulières car elles violeraient les textes en vigueur», explique-t-il. Tanoh Brahiman poursuit en révélant que cette décision politique devait à terme permettre à ces ministres de La majorité présidentielle (Lmp) de nommer leurs militants en lieu en place de ceux promus par Moussa Dosso. «Heureusement, les élections ont mis fin à cette mascarade. Et alors que les inspecteurs avaient grand espoir que le nouveau ministre Albert Flindé rétablirait rapidement le paiement de leurs indemnités, il se trouve que leur problème est loin d’être résolu par la faute de personnes tapies dans l’ombre qui empêchent le ministre de prendre la décision de main levée. C’est le lieu d’attirer l’attention d’Albert Flindé sur la capacité de nuisance de ces syndicalistes Lmp qui ont fait échouer Yapo Atsé Benjamin », a interpellé le responsable de communication. Les indemnités en question s’élèvent à 200.000Fcfa par mois.
Napargalè Marie