Rencontrer toutes les structures et organisations sous tutelle afin de définir une matrice d’actions. C’est ce que fait le ministre de la Communication, Diakité Souleïmane Coty. En recevant, hier à son cabinet, au 12ème Etage de la Tour C au Plateau, l’Union Nationale des Journalistes de Côte d’Ivoire (UNJCI), le premier responsable de la Communication entendait rasséréner la plus ancienne organisation de la presse sur les engagements des pouvoirs publics. « L’Etat fera ce qu’il faut pour que la Côte d’Ivoire soit digne de sa presse.» Révélant sa préoccupation, le ministre n’a pas manqué de déplorer « le déficit de formation des professionnels de la Communication » et entend prendre ce problème à bras le corps pour une thérapie de choc. Quand au rôle des journalistes, dans l’exacerbation de la crise ivoirienne, Diakité Coty a invité les uns et les autres à « reconnaître leur part de responsabilité », afin d’être dans l’état d’esprit idoine pour accompagner le processus de réconciliation.
Mam Camara, accompagné des membres du Conseil Exécutif de l’UNJCI, qu’il préside, a fait le plaidoyer de voir l’Etat « appuyer les entreprises de presse afin que celles-ci soient à même d’appliquer la Convention collective.»
Bien d’autres sujets, entre autres, la sécurité des journalistes, l’accès aux sources d’information et la tenue de la Nuit des Ebony de 2010, le 4 novembre prochain, ont été évoqués avec le ministre qui a reçu, à la suite de l’UNJCI, l’Organisation des Journalistes professionnels (OJPCI).
JAD
Mam Camara, accompagné des membres du Conseil Exécutif de l’UNJCI, qu’il préside, a fait le plaidoyer de voir l’Etat « appuyer les entreprises de presse afin que celles-ci soient à même d’appliquer la Convention collective.»
Bien d’autres sujets, entre autres, la sécurité des journalistes, l’accès aux sources d’information et la tenue de la Nuit des Ebony de 2010, le 4 novembre prochain, ont été évoqués avec le ministre qui a reçu, à la suite de l’UNJCI, l’Organisation des Journalistes professionnels (OJPCI).
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