Le ministre de la Culture et de la Francophonie, Maurice Kouakou Bandama a, le lundi 4 juillet 2011, reçu en audience les organisations professionnelles de son département. L’écrivain-ministre a félicité la délégation composée d’une vingtaine de membres issus du Synapac-CI (Syndicat national des professionnels de l’action culturelle de Côte d’Ivoire) et du Forca-Sup (Forum des cadres supérieurs de l’action culturelle). Cette rencontre fait suite à un courrier
introduit audit ministère, depuis le 6 juin dernier. «Nous connaissons la maison. Nous vous
félicitons pour le sacrifice consenti dans les conditions difficiles durant toutes ces années. Dans le programme de gouvernement du Président de la République, la culture occupe une place de choix. C’est pourquoi, nous allons faire des efforts pour vous aider », a rassuré sans détour, le ministre Maurice Kouakou Bandama. Les organisations professionnelles ont soumis à leur tutelle, des difficultés de deux ordres.
Les deux structures œuvrant à l’amélioration des conditions de vie des professionnels de l’action culturelle, ont dénoncé l’occupation ‘’illicite’’ des postes dévolus à leurs agents formés en la matière, par des acteurs ne relevant pas de cette corporation. Ainsi, la délégation a expliqué que sur 313 professionnels de l’action culturelle, 121 sont des cadres supérieurs et moyen-supérieurs oscillant dans les catégories A7, A4 et A3. Donc, sont compétents pour occuper les postes de responsabilité assignés au domaine de l’action culturelle. Par ailleurs, les émissaires du Synapac-CI et Forca-sup ont soulevé la question des indemnités de risque et de sujétion, pour les cinq (5) corps de métiers, à savoir animation culturelle, muséologie, archiviste, documentaliste et bibliothécaire.
Interrompu en cours d’exécution par la crise postélectorale ivoirienne, les hôtes ont dépoussiéré ledit dossier et ont suggéré une issue favorable à cette indemnisation, que leurs mandants attendent impatiemment. Outre que cela, les délégués ont énoncé une série de propositions devant aider à la bonne gouvernance du développement culturel en Côte d’Ivoire. Notamment l’amélioration de la formation des professionnels au niveau de l’Insaac et de l’implication résolue du ministre Bandama auprès de ses homologues pour que les professionnels de l’action culturelle héritent des postes qui leur reviennent de droit, dans les collectivités territoriales et autres structures étatiques.
Patrick Krou
introduit audit ministère, depuis le 6 juin dernier. «Nous connaissons la maison. Nous vous
félicitons pour le sacrifice consenti dans les conditions difficiles durant toutes ces années. Dans le programme de gouvernement du Président de la République, la culture occupe une place de choix. C’est pourquoi, nous allons faire des efforts pour vous aider », a rassuré sans détour, le ministre Maurice Kouakou Bandama. Les organisations professionnelles ont soumis à leur tutelle, des difficultés de deux ordres.
Les deux structures œuvrant à l’amélioration des conditions de vie des professionnels de l’action culturelle, ont dénoncé l’occupation ‘’illicite’’ des postes dévolus à leurs agents formés en la matière, par des acteurs ne relevant pas de cette corporation. Ainsi, la délégation a expliqué que sur 313 professionnels de l’action culturelle, 121 sont des cadres supérieurs et moyen-supérieurs oscillant dans les catégories A7, A4 et A3. Donc, sont compétents pour occuper les postes de responsabilité assignés au domaine de l’action culturelle. Par ailleurs, les émissaires du Synapac-CI et Forca-sup ont soulevé la question des indemnités de risque et de sujétion, pour les cinq (5) corps de métiers, à savoir animation culturelle, muséologie, archiviste, documentaliste et bibliothécaire.
Interrompu en cours d’exécution par la crise postélectorale ivoirienne, les hôtes ont dépoussiéré ledit dossier et ont suggéré une issue favorable à cette indemnisation, que leurs mandants attendent impatiemment. Outre que cela, les délégués ont énoncé une série de propositions devant aider à la bonne gouvernance du développement culturel en Côte d’Ivoire. Notamment l’amélioration de la formation des professionnels au niveau de l’Insaac et de l’implication résolue du ministre Bandama auprès de ses homologues pour que les professionnels de l’action culturelle héritent des postes qui leur reviennent de droit, dans les collectivités territoriales et autres structures étatiques.
Patrick Krou