Le Centre Ivoirien de Recherches Economiques et Sociales (CIRES) a organisé le jeudi 07 juillet 2011 un séminaire sur les thème : ’’Migration et transfert de ressources’’ à la salle de séminaire.
De nombreux chercheurs et spécialistes dans le domaine économique et social y ont assisté. Pour Dr Diarra Ibrahim, Directeur du Cires, l’objectif de ce séminaire est de faire en sorte que les recherches menées soient au service du développement. Selon lui, ‘’la conception du projet est financé par le Centre de Recherches pour le Développement International (CRDI). Il est nécessaire de porter cela à la connaissance des autorités afin de mettre en place une politique en matière de migration’’. C’est pourquoi, il a lancé un appel au gouvernement pour le financement de certains projets de développement durable et de lutter contre la pauvreté.
Les différentes communications ont montré que le taux d’émigration des ivoiriens est passé de 0,8% à 5,4% de 2005 à 2010. Et le nombre des refugiés est estimé à plus de 160.000 enregistrés dans la sous-région. Il ressort que les politiques d’attrait et de facilitation des ressources issues de l’émigration devront être mises en œuvres pour accélérer l’effet positif attendu des transferts dans la lutte contre la pauvreté et les inégalités en Côte d’Ivoire. Les statistiques au plan mondial montrent que le cumul des transferts des migrations vers leur pays d’origine surpasse ces dernières années les aides publiques au développement.
Le service de communication
De nombreux chercheurs et spécialistes dans le domaine économique et social y ont assisté. Pour Dr Diarra Ibrahim, Directeur du Cires, l’objectif de ce séminaire est de faire en sorte que les recherches menées soient au service du développement. Selon lui, ‘’la conception du projet est financé par le Centre de Recherches pour le Développement International (CRDI). Il est nécessaire de porter cela à la connaissance des autorités afin de mettre en place une politique en matière de migration’’. C’est pourquoi, il a lancé un appel au gouvernement pour le financement de certains projets de développement durable et de lutter contre la pauvreté.
Les différentes communications ont montré que le taux d’émigration des ivoiriens est passé de 0,8% à 5,4% de 2005 à 2010. Et le nombre des refugiés est estimé à plus de 160.000 enregistrés dans la sous-région. Il ressort que les politiques d’attrait et de facilitation des ressources issues de l’émigration devront être mises en œuvres pour accélérer l’effet positif attendu des transferts dans la lutte contre la pauvreté et les inégalités en Côte d’Ivoire. Les statistiques au plan mondial montrent que le cumul des transferts des migrations vers leur pays d’origine surpasse ces dernières années les aides publiques au développement.
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