La délégation française, conduite par le Premier ministre François Fillon, comprenait aussi Pierre Lellouche, secrétaire d’Etat au commerce extérieur, David Douillet, secrétaire d’Etat chargé des français de l’extérieur et Henri de Raincourt, ministre chargé de la coopération.
… et de 6 parlementaires
L’Assemblée nationale française a mandaté 6 députés pour effectuer le voyage d’Abidjan. Les parlementaires ont pu échanger avec plusieurs officiels ivoiriens ainsi qu’avec des opérateurs économiques. Le but est de s’imprégner de la situation sur le terrain et comprendre les enjeux de l’engagement du gouvernement dans la relance post-crise.
317 personnes dans l’amphithéâtre.
Malgré une stricte limitation du nombre d’invités et la fine pluie, l’amphithéâtre de l’Immeuble CRAE-UEMOA est plein à craquer lorsque le président Jean-Louis Billon ouvre la séance. On a dénombré 317 participants
… dont 105 investisseurs français
Dans la délégation française, il y avait 105 investisseurs. Ils ont eu le soutien de l’ambassadeur de l’Union européenne et du président de la Chambre de commerce européen.
Grande mobilisation des officiels
Plusieurs officiels ivoiriens ont pris part à la rencontre. Outre le Premier ministre, Guillaume Soro, on peut citer les ministres Kablan Duncan, Sidiki Konaté, Diby Koffi, Koffi Koffi, Dagobert Banzio, Moussa Dosso et Patrick Achi. Il y avait aussi, l’ambassadeur Ally Coulibaly, le président du patronat Jean Diagou et le président du Conseil économique et social Marcel Kessi, le gouverneur Beugré Mambé, le maire Akossi Bendjo, etc.
Sécurité très renforcée
Ceux qui sont arrivés après 8 heures 30 n’ont pas eu accès à la salle. Réputés en conflit avec la ponctualité, des invités dont plusieurs personnalités ont été bloqués au portail à l’instar de Michel Moulod, maire de Bassam. Par ailleurs, il fallait montrer patte blanche à l’entrée du bâtiment. Un service d’ordre d’un professionnalisme indiscutable veillait au grain.
6 panélistes à la barre
Charles Kié, Didier Kla, François Komoin, Angoran Tano, Guy M’Bengue, Pierre Chaudron ont animé les différents panels. Les échanges qui ont suivi, ont permis aux opérateurs économiques de s’imprégner de la situation des investissements en Côte d’Ivoire
Une sélection de L.B
… et de 6 parlementaires
L’Assemblée nationale française a mandaté 6 députés pour effectuer le voyage d’Abidjan. Les parlementaires ont pu échanger avec plusieurs officiels ivoiriens ainsi qu’avec des opérateurs économiques. Le but est de s’imprégner de la situation sur le terrain et comprendre les enjeux de l’engagement du gouvernement dans la relance post-crise.
317 personnes dans l’amphithéâtre.
Malgré une stricte limitation du nombre d’invités et la fine pluie, l’amphithéâtre de l’Immeuble CRAE-UEMOA est plein à craquer lorsque le président Jean-Louis Billon ouvre la séance. On a dénombré 317 participants
… dont 105 investisseurs français
Dans la délégation française, il y avait 105 investisseurs. Ils ont eu le soutien de l’ambassadeur de l’Union européenne et du président de la Chambre de commerce européen.
Grande mobilisation des officiels
Plusieurs officiels ivoiriens ont pris part à la rencontre. Outre le Premier ministre, Guillaume Soro, on peut citer les ministres Kablan Duncan, Sidiki Konaté, Diby Koffi, Koffi Koffi, Dagobert Banzio, Moussa Dosso et Patrick Achi. Il y avait aussi, l’ambassadeur Ally Coulibaly, le président du patronat Jean Diagou et le président du Conseil économique et social Marcel Kessi, le gouverneur Beugré Mambé, le maire Akossi Bendjo, etc.
Sécurité très renforcée
Ceux qui sont arrivés après 8 heures 30 n’ont pas eu accès à la salle. Réputés en conflit avec la ponctualité, des invités dont plusieurs personnalités ont été bloqués au portail à l’instar de Michel Moulod, maire de Bassam. Par ailleurs, il fallait montrer patte blanche à l’entrée du bâtiment. Un service d’ordre d’un professionnalisme indiscutable veillait au grain.
6 panélistes à la barre
Charles Kié, Didier Kla, François Komoin, Angoran Tano, Guy M’Bengue, Pierre Chaudron ont animé les différents panels. Les échanges qui ont suivi, ont permis aux opérateurs économiques de s’imprégner de la situation des investissements en Côte d’Ivoire
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