Abidjan - Le ministre de la Communication, Souleïmane Coty Diakité, a promis, lundi, de faire de l’Agence ivoirienne de presse (AIP), objet récemment de nombreux pillages, "un important outil d’information et de communication".
"Oui ! La nouvelle AIP, dotée du statut de société d’Etat, sera une grande agence de presse au service des ivoiriens et des institutions nationales", a déclaré M. Diakité, au cours d’une visite de prise de contact qu’il effectuait au siège de l’Agence, au Plateau (Abidjan-centre).
L’AIP, a-t-il ajouté, "sera un puissant outil de communication, au servie des ambitions que le Président de la république (Alasane Ouattara) nourrit pour notre pays, la Côte d’Ivoire".
"L’AIP doit reprendre sa marche, malgré les énormes difficultés de l’heure", a-t-il signifié à son personnel, assurant qu’elle (AIP) serait "dotée de moyens financiers, logistiques, techniques et humains à la dimension de sa mission centrale et stratégique dans le paysage médiatique ivoirien".
Ayant déploré les récents pillages subis par le média qui célèbre cette son cinquantenaire, Souleïmane Coty Diakité s’est engagé, devant la direction et les agents de l’AIP, d’entreprendre "toutes les démarches nécessaires, aussi bien au niveau du gouvernement qu’auprès des partenaires étrangers", pour son rééquipement.
"J’attends donc l’inventaire exhaustif et chiffré du matériel pillé et vos besoins immédiats, afin que je puisse, avec mes collaborateurs, travailler sur le dossier", a-t-il instruit la directrice par intérim de l’AIP, Sana-Barry Oumou.
Cette dernière avait auparavant énuméré au ministre de la Communication, les principales difficultés quotidiennes de sa structure. Il s’agit notamment du manque de matériel, l’insuffisance du budget face aux besoins de fonctionnement, la démotivation constante et le flux du personnel.
Créée en 1961, l’Agence ivoirienne de presse a été transformée par le décret du 27 mars 1991 en un établissement public national à caractère administratif (EPA). Elle dispose d’un effectif de 102 agents dont 29 journalistes professionnels et 50 pigistes exerçant à Abidjan et sur toute l’étendue du territoire national.
"Mais, dans le contexte actuel, l’agence (AIP) assume péniblement sa mission" de collecte, de traitement et de diffusion de l’information à temps réel, a relevé sa nouvelle directrice.
(AIP)
"Oui ! La nouvelle AIP, dotée du statut de société d’Etat, sera une grande agence de presse au service des ivoiriens et des institutions nationales", a déclaré M. Diakité, au cours d’une visite de prise de contact qu’il effectuait au siège de l’Agence, au Plateau (Abidjan-centre).
L’AIP, a-t-il ajouté, "sera un puissant outil de communication, au servie des ambitions que le Président de la république (Alasane Ouattara) nourrit pour notre pays, la Côte d’Ivoire".
"L’AIP doit reprendre sa marche, malgré les énormes difficultés de l’heure", a-t-il signifié à son personnel, assurant qu’elle (AIP) serait "dotée de moyens financiers, logistiques, techniques et humains à la dimension de sa mission centrale et stratégique dans le paysage médiatique ivoirien".
Ayant déploré les récents pillages subis par le média qui célèbre cette son cinquantenaire, Souleïmane Coty Diakité s’est engagé, devant la direction et les agents de l’AIP, d’entreprendre "toutes les démarches nécessaires, aussi bien au niveau du gouvernement qu’auprès des partenaires étrangers", pour son rééquipement.
"J’attends donc l’inventaire exhaustif et chiffré du matériel pillé et vos besoins immédiats, afin que je puisse, avec mes collaborateurs, travailler sur le dossier", a-t-il instruit la directrice par intérim de l’AIP, Sana-Barry Oumou.
Cette dernière avait auparavant énuméré au ministre de la Communication, les principales difficultés quotidiennes de sa structure. Il s’agit notamment du manque de matériel, l’insuffisance du budget face aux besoins de fonctionnement, la démotivation constante et le flux du personnel.
Créée en 1961, l’Agence ivoirienne de presse a été transformée par le décret du 27 mars 1991 en un établissement public national à caractère administratif (EPA). Elle dispose d’un effectif de 102 agents dont 29 journalistes professionnels et 50 pigistes exerçant à Abidjan et sur toute l’étendue du territoire national.
"Mais, dans le contexte actuel, l’agence (AIP) assume péniblement sa mission" de collecte, de traitement et de diffusion de l’information à temps réel, a relevé sa nouvelle directrice.
(AIP)