Les consommateurs seront heureux de l’apprendre. Hier, les discussions entre les commerçants et le ministre de tutelle,
Dagobert Banzio, ont abouti à la réduction de 50F et 25F du prix du Kg du granulé blanc et roux. Tout en demandant au gouvernement de “faire quelque chose“ contre le racket de certains contrôleurs de prix et des éléments des Frci, les grossistes, demi-grossistes et détaillants ont adhéré au protocole d’homologation du prix du sucre. Pour veiller au respect de cette tarification, le ministre envisage plusieurs mesures. Notamment l’évaluation et la vérification de la disponibilité des stocks auprès des producteurs en vue d’enrayer toute spéculation sur le marché. Et la mise en place d’un comité tripartite (ministère du Commerce, distributeurs et consommateurs). Il entend également accélérer la mise en place de la commission de lutte contre la vie chère. Une manière de réitérer la volonté du président Ouattara d’améliorer les conditions de vie de ses concitoyens. «La marge de bénéfice ne doit pas excéder 3% pour les grossistes, 6% pour les demi-grossistes et 12% pour les détaillants. C’est dans la limite des 21% que la liberté vous est donnée d’augmenter ou de diminuer les prix. Au-delà, ce n’est plus du commerce que vous faites», a tancé le ministre.
Stéphane Assamoi
Dagobert Banzio, ont abouti à la réduction de 50F et 25F du prix du Kg du granulé blanc et roux. Tout en demandant au gouvernement de “faire quelque chose“ contre le racket de certains contrôleurs de prix et des éléments des Frci, les grossistes, demi-grossistes et détaillants ont adhéré au protocole d’homologation du prix du sucre. Pour veiller au respect de cette tarification, le ministre envisage plusieurs mesures. Notamment l’évaluation et la vérification de la disponibilité des stocks auprès des producteurs en vue d’enrayer toute spéculation sur le marché. Et la mise en place d’un comité tripartite (ministère du Commerce, distributeurs et consommateurs). Il entend également accélérer la mise en place de la commission de lutte contre la vie chère. Une manière de réitérer la volonté du président Ouattara d’améliorer les conditions de vie de ses concitoyens. «La marge de bénéfice ne doit pas excéder 3% pour les grossistes, 6% pour les demi-grossistes et 12% pour les détaillants. C’est dans la limite des 21% que la liberté vous est donnée d’augmenter ou de diminuer les prix. Au-delà, ce n’est plus du commerce que vous faites», a tancé le ministre.
Stéphane Assamoi