« Toute action de promotion et de protection des droits de l’Homme sans l’implication des
organisations de la société civile oeuvrant dans le domaine, tant au niveau de la réflexion, de
la conception que de sa mise en application, peut être un échec. Voici pourquoi, nous dévions fédérer nos énergies pour des actions efficaces au profit des populations». C’est par ces mots que le ministre des droits de l’Hommes et des Libertés publiques, Coulibaly Gnénéma a justifié la séance de travail qu’il a eue hier à son cabinet au Plateau avec une vingtaine d’organisations de la société civile. Pour le premier responsable des droits de l’Homme et des Libertés publiques en Côte d’Ivoire, cette rencontre est un cadre d’action concertée pour mieux coordonner toutes les actions à mener par les structures faîtières et les ONG exerçants pour la promotion et la protection des droits de l’Hommes en Côte d’Ivoire «Il nous faut déterminer ensemble un plan d’action à travers des réflexions préliminaires avant qu’un séminaire de validation ne soit envisagé dans les prochains jours », a indiqué d’entrée le ministre Coulibaly Gnénéma, aux responsables des organisations de la société civile. Durant le temps d’une matinée, les responsables des différentes organisations des droits de l’Homme entre autres, OFACI, LIDHO, MIDH, BICE, CIDDH… ont, tour à tour, présenté succinctement leur plan d’actions et fait des propositions qui, selon le ministre, Gnénéma seront validés et versés au plan d’actions globale pour la promotion des droits de l’Homme au niveau de l’action gouvernemental, pour les six mois à venir. Après le séminaire
gouvernemental, qui a élaboré la directive de l’action gouvernementale, des plans d’actions
sectorielles se mettent en place pour faire de la Côte d’Ivoire, une contrée où les droits
humains sont scrupuleusement respectés Moussa keita
organisations de la société civile oeuvrant dans le domaine, tant au niveau de la réflexion, de
la conception que de sa mise en application, peut être un échec. Voici pourquoi, nous dévions fédérer nos énergies pour des actions efficaces au profit des populations». C’est par ces mots que le ministre des droits de l’Hommes et des Libertés publiques, Coulibaly Gnénéma a justifié la séance de travail qu’il a eue hier à son cabinet au Plateau avec une vingtaine d’organisations de la société civile. Pour le premier responsable des droits de l’Homme et des Libertés publiques en Côte d’Ivoire, cette rencontre est un cadre d’action concertée pour mieux coordonner toutes les actions à mener par les structures faîtières et les ONG exerçants pour la promotion et la protection des droits de l’Hommes en Côte d’Ivoire «Il nous faut déterminer ensemble un plan d’action à travers des réflexions préliminaires avant qu’un séminaire de validation ne soit envisagé dans les prochains jours », a indiqué d’entrée le ministre Coulibaly Gnénéma, aux responsables des organisations de la société civile. Durant le temps d’une matinée, les responsables des différentes organisations des droits de l’Homme entre autres, OFACI, LIDHO, MIDH, BICE, CIDDH… ont, tour à tour, présenté succinctement leur plan d’actions et fait des propositions qui, selon le ministre, Gnénéma seront validés et versés au plan d’actions globale pour la promotion des droits de l’Homme au niveau de l’action gouvernemental, pour les six mois à venir. Après le séminaire
gouvernemental, qui a élaboré la directive de l’action gouvernementale, des plans d’actions
sectorielles se mettent en place pour faire de la Côte d’Ivoire, une contrée où les droits
humains sont scrupuleusement respectés Moussa keita