Philippe Légré a mis le porte-parole du gouvernement, Bruno Koné, dans une mauvaise posture. En effet, son collègue des Sports à qui il a prêté son stylo, a oublié de le lui rendre. Toute chose qui en a rajouté à son stress et qui l’a contraint à inverser les rôles. Assis, il a dû se relever pour sacrifier à la prononciation d’une formule sacramentelle avant de se rasseoir et de parapher le document.
Politique Publié le mercredi 10 août 2011 | Nord-Sud