C’est une première en Afrique. L’adoption d’une charte d’éthique d’un gouvernement. Cette initiative est du nouveau chef de l’Etat ivoirien. Passé le moment de surprise, des personnalités de haut rang ne sont plus enthousiasmées par un poste ministériel sous l’ère Ouattara.
Haro sur la corruption et l’enrichissement
illicite ?
La trouvaille a créé depuis quarante huit-heures, une onde de choc au sein des cadres et hauts fonctionnaires qui aspiraient à un poste de ministre. Si les chantres de la bonne gouvernance, de l’intégrité, de la probité, de l’équité, de la primauté de l’intérêt général sont aux anges, et applaudissent à tout rompre ce nouveau code d’éthique, cette ‘’constitution’’ écrite pour le gouvernement, ce n’est pas le cas pour ceux qui sont abonnés à la corruption, à l’enrichissement rapide et illicite, au népotisme et autres favoritismes ou particularismes régionaux, ethniques, politiques et religieux. Toutes ces magouilles constatées par le passé dans l’administration publique ivoirienne, les cabinets ministériels et structures sous tutelle sont désormais interdites et passibles de limogeage et de poursuites judiciaires avec l’adoption le mardi 9 Août 2011 d’une charte d’éthique du gouvernement Ouattara. Ça pleure depuis cette date ! Car désormais, le Président de la République, Alassane Ouattara, veille contre ces pratiques déviationnistes qui ont contribué hier à l’enrichissement effréné des ‘’grilleurs d’arachides’’ et fossoyeurs de l’économie ivoirienne. C’est terminé depuis donc cette date. Il n’y aura plus de ‘’caisses noires’’. Ce n’est pas tout. Ouattara a aussi ouvertement déclaré la guerre contre le régionalisme, le tribalisme, la médiocrité. Un musulman promu doit tenir compte de la diversité et de la pluralité dans ses recrutements et nominations. Idem pour un chrétien, ou pour un animiste. Personne ne doit remplir son cabinet ou les structures sous tutelle de parents, amis et connaissances. Place désormais à la promotion de l’excellence avec toutes les ethnies qui peuplent la Côte d’Ivoire. A bas aussi les trafics d’influence qui étaient monnaie courante dans le pays. Droiture, intégrité, probité, incorruptibilité et bonne gouvernance. Cinq mots-clés à partir desquels le Président de la République jugera, sanctionnera ou félicitera les ministres. Le top départ a été donné le mardi 09 Août avec l’adoption de ce guide.
Des Ivoiriens
jettent l’éponge
Des Ivoiriens dont l’objectif était de terminer leur carrière comme ministre de la République ne sont plus du tout chauds. En tout cas pas sous le régime Ouattara. Le Président de la République, qui veut éviter les erreurs du passé, a posé de solides balises. Qui ont depuis 48 heures découragé l’ardeur des prétendants. ‘’C’est trop risqué et difficile d’être dans le gouvernement de Ouattara’’, se ravisent-ils. Pour eux, la porte est déjà grandement ouverte pour la Maca. Le chef de l’Etat ivoirien qui ne badine pas avec la bonne gouvernance serait prêt à frapper le premier ‘’gaou’’ qui déchirera cette charte pour s’adonner à des crimes économiques. Le peuple d’Eburnie et Dieu sont témoins entre lui et cette loi fondamentale du gouvernement ivoirien. Oui pour la rigueur gouvernementale, mais de là à suspendre une épée de Damoclès sur la tête des ministres ! En tout cas, personne ne veut être un ‘’prisonnier en sursis’’, susurre-t-on. Les 36 membres du gouvernement actuel sont actuellement plaints par d’autres ambitieux et carriéristes, qui pensaient que le départ de Gbagbo, sonnerait leur de gloire. Qui ne les envient pas du tout après l’adoption de cette charte. Y a-t-il encore des volontaires pour le prochain gouvernement ? Ils se comptent du bout des doigts. Fin donc attendue de la corruption et de l’enrichissement illicite ? Le Président Alassane Ouattara est en train de réussir lentement et sûrement la moralisation de la vie publique dans son pays avec ces Ivoiriens qui jettent l’éponge quant à leur éventuelle entrée un jour au gouvernement Ouattara. La course aux postes publics pour s’enrichir sur le dos de tous, c’est fini!
Maxime Wangué et Charles Kouassi
Haro sur la corruption et l’enrichissement
illicite ?
La trouvaille a créé depuis quarante huit-heures, une onde de choc au sein des cadres et hauts fonctionnaires qui aspiraient à un poste de ministre. Si les chantres de la bonne gouvernance, de l’intégrité, de la probité, de l’équité, de la primauté de l’intérêt général sont aux anges, et applaudissent à tout rompre ce nouveau code d’éthique, cette ‘’constitution’’ écrite pour le gouvernement, ce n’est pas le cas pour ceux qui sont abonnés à la corruption, à l’enrichissement rapide et illicite, au népotisme et autres favoritismes ou particularismes régionaux, ethniques, politiques et religieux. Toutes ces magouilles constatées par le passé dans l’administration publique ivoirienne, les cabinets ministériels et structures sous tutelle sont désormais interdites et passibles de limogeage et de poursuites judiciaires avec l’adoption le mardi 9 Août 2011 d’une charte d’éthique du gouvernement Ouattara. Ça pleure depuis cette date ! Car désormais, le Président de la République, Alassane Ouattara, veille contre ces pratiques déviationnistes qui ont contribué hier à l’enrichissement effréné des ‘’grilleurs d’arachides’’ et fossoyeurs de l’économie ivoirienne. C’est terminé depuis donc cette date. Il n’y aura plus de ‘’caisses noires’’. Ce n’est pas tout. Ouattara a aussi ouvertement déclaré la guerre contre le régionalisme, le tribalisme, la médiocrité. Un musulman promu doit tenir compte de la diversité et de la pluralité dans ses recrutements et nominations. Idem pour un chrétien, ou pour un animiste. Personne ne doit remplir son cabinet ou les structures sous tutelle de parents, amis et connaissances. Place désormais à la promotion de l’excellence avec toutes les ethnies qui peuplent la Côte d’Ivoire. A bas aussi les trafics d’influence qui étaient monnaie courante dans le pays. Droiture, intégrité, probité, incorruptibilité et bonne gouvernance. Cinq mots-clés à partir desquels le Président de la République jugera, sanctionnera ou félicitera les ministres. Le top départ a été donné le mardi 09 Août avec l’adoption de ce guide.
Des Ivoiriens
jettent l’éponge
Des Ivoiriens dont l’objectif était de terminer leur carrière comme ministre de la République ne sont plus du tout chauds. En tout cas pas sous le régime Ouattara. Le Président de la République, qui veut éviter les erreurs du passé, a posé de solides balises. Qui ont depuis 48 heures découragé l’ardeur des prétendants. ‘’C’est trop risqué et difficile d’être dans le gouvernement de Ouattara’’, se ravisent-ils. Pour eux, la porte est déjà grandement ouverte pour la Maca. Le chef de l’Etat ivoirien qui ne badine pas avec la bonne gouvernance serait prêt à frapper le premier ‘’gaou’’ qui déchirera cette charte pour s’adonner à des crimes économiques. Le peuple d’Eburnie et Dieu sont témoins entre lui et cette loi fondamentale du gouvernement ivoirien. Oui pour la rigueur gouvernementale, mais de là à suspendre une épée de Damoclès sur la tête des ministres ! En tout cas, personne ne veut être un ‘’prisonnier en sursis’’, susurre-t-on. Les 36 membres du gouvernement actuel sont actuellement plaints par d’autres ambitieux et carriéristes, qui pensaient que le départ de Gbagbo, sonnerait leur de gloire. Qui ne les envient pas du tout après l’adoption de cette charte. Y a-t-il encore des volontaires pour le prochain gouvernement ? Ils se comptent du bout des doigts. Fin donc attendue de la corruption et de l’enrichissement illicite ? Le Président Alassane Ouattara est en train de réussir lentement et sûrement la moralisation de la vie publique dans son pays avec ces Ivoiriens qui jettent l’éponge quant à leur éventuelle entrée un jour au gouvernement Ouattara. La course aux postes publics pour s’enrichir sur le dos de tous, c’est fini!
Maxime Wangué et Charles Kouassi
