Abidjan, 18 août (AIP) – Le ministre d’Etat, ministre de l’Intérieur, Hamed Bakayoko a tenu mercredi une réunion de crise avec le ministre délégué à la Défense, Paul Koffi Koffi, en vue d’arrêter un plan d’urgence pour mettre fin aux braquages de domiciles, de bureaux et de véhicules ainsi que des vols à main armée constatés ces derniers temps, notamment à Abidjan.
A l’issue de la séance de travail, Hamed Bakayoko a précisé qu’il ne dévoilera pas la stratégie mise en place pour contrer ce grand banditisme, révélant toutefois le mode opératoire des braqueurs. Il a noté qu’il s’agit généralement de civils ou d’hommes en tenue militaire et armés qui, sous le prétexte d’opérer des contrôles, s’adonnent à des braquages des populations civiles.
Hamed Bakayoko a toutefois relevé que le plan d’urgence va permettre de sécuriser, les trois grandes zones industrielles d’Abidjan (Vridi, Koumassi, Yopougon) ainsi que les quartiers où sont dénombrés un grand nombre d’agressions. « Nous avons demandé à nos hommes d’avoir une réaction urgente et énergique. Sans dévoiler les détails de ce plan, je peux dire aux Ivoiriens que dans les jours et les semaines à venir, ils verront des résultants concrets », a-t-il assuré.
La réunion de crise s’est tenue en présence des grands commandements des forces de police, de gendarmerie et des forces militaires des FRCI (Forces républicaines de Côte d’Ivoire).
Dans le mois de juillet, 120 cas d’agressions en général et une soixantaine de braquages de véhicules ont été enregistrés dans le district d’Abidjan, indique-t-on.
A l’issue de la séance de travail, Hamed Bakayoko a précisé qu’il ne dévoilera pas la stratégie mise en place pour contrer ce grand banditisme, révélant toutefois le mode opératoire des braqueurs. Il a noté qu’il s’agit généralement de civils ou d’hommes en tenue militaire et armés qui, sous le prétexte d’opérer des contrôles, s’adonnent à des braquages des populations civiles.
Hamed Bakayoko a toutefois relevé que le plan d’urgence va permettre de sécuriser, les trois grandes zones industrielles d’Abidjan (Vridi, Koumassi, Yopougon) ainsi que les quartiers où sont dénombrés un grand nombre d’agressions. « Nous avons demandé à nos hommes d’avoir une réaction urgente et énergique. Sans dévoiler les détails de ce plan, je peux dire aux Ivoiriens que dans les jours et les semaines à venir, ils verront des résultants concrets », a-t-il assuré.
La réunion de crise s’est tenue en présence des grands commandements des forces de police, de gendarmerie et des forces militaires des FRCI (Forces républicaines de Côte d’Ivoire).
Dans le mois de juillet, 120 cas d’agressions en général et une soixantaine de braquages de véhicules ont été enregistrés dans le district d’Abidjan, indique-t-on.