Le mercredi 17 Août 2011 à 16 heures, dans les locaux du Ministère des Eaux et Forêts, Monsieur OKAMURA, Ambassadeur du Japon en Côte d’Ivoire a rendu visite au Ministre BOUEKA NABO Clément dans le cadre de la coopération bilatérale du démarrage des activités de la question forestière. Son collègue du Ministère des Ressources Animales et Halieutiques, le Ministre KOBENA K. Adjoumani, était présent ; présence qui témoigne de la solidarité des membres du gouvernement dans leurs activités.
Il est bon de rappeler qu’au titre de l’année 2009, le gouvernement du Japon a offert des dons en équipements d’une valeur de trois milliards sept cent cinquante millions (3.750.000.000) de francs CFA au Ministère des Eaux et Forêts. Ce, dans le dessein de réhabiliter et de gérer de manière durable les forêts classées menacées de disparition.
Le projet comprend quatre composantes réparties comme suit :
- Protection de 815.000 ha de forêts classées
- Reconstitution des zones dégradées
- Développement socio-économique des zones autour des forêts classées
- Valorisation des bois issus des plantations forestières.
Le Ministre des Eaux et Forêts à commencé son propos par adresser un message de compassion à son hôte, Son Excellence OKAMURA dont la résidence a subi les affres de la crise post-électorale en Côte d’Ivoire. De son retour d’exil forcé de trois mois hors de nos frontières, c’est avec grande joie que l’Ambassadeur du Japon renoue, avec notre pays, ses activités restées en suspens jusque-là. Ce croyant invétéré n’a pas manqué de dire que c’est Dieu qui n’a pas autorisé le démarrage effectif des opérations en termes d’acquisition de matériels qui seraient détruits à la faveur de la guerre. Il a apprécié « les mots gentils et de compassion » selon ses propres termes, à son égard qui dénotent d’une grande marque de considération des autorités ivoiriennes vis-à-vis de son pays.
Pour le Ministre des Eaux et Forêts et l’Ambassadeur du Japon, la question forestière ne se mesure ni par la force, ni par les armes, mais par la proximité avec la population. Il serait donc important d’impliquer davantage les populations villageoises dans la protection de leurs forêts. Il faut exploiter la forêt avec intelligence afin de la préserver pour la génération future.
Le 02 septembre 2011 est la date choisie pour la mise en œuvre effective du démarrage de la coopération bilatérale entre le gouvernement du Japon et du Ministère des Eaux et Forêts à MONOGAGA dans la région de San- Pedro en présence de l’Ambassadeur OKAMURA et du Ministre BOUEKA NABO Clément.
CHEF DU SERVICE COMMUNICATION DU MINEF
Il est bon de rappeler qu’au titre de l’année 2009, le gouvernement du Japon a offert des dons en équipements d’une valeur de trois milliards sept cent cinquante millions (3.750.000.000) de francs CFA au Ministère des Eaux et Forêts. Ce, dans le dessein de réhabiliter et de gérer de manière durable les forêts classées menacées de disparition.
Le projet comprend quatre composantes réparties comme suit :
- Protection de 815.000 ha de forêts classées
- Reconstitution des zones dégradées
- Développement socio-économique des zones autour des forêts classées
- Valorisation des bois issus des plantations forestières.
Le Ministre des Eaux et Forêts à commencé son propos par adresser un message de compassion à son hôte, Son Excellence OKAMURA dont la résidence a subi les affres de la crise post-électorale en Côte d’Ivoire. De son retour d’exil forcé de trois mois hors de nos frontières, c’est avec grande joie que l’Ambassadeur du Japon renoue, avec notre pays, ses activités restées en suspens jusque-là. Ce croyant invétéré n’a pas manqué de dire que c’est Dieu qui n’a pas autorisé le démarrage effectif des opérations en termes d’acquisition de matériels qui seraient détruits à la faveur de la guerre. Il a apprécié « les mots gentils et de compassion » selon ses propres termes, à son égard qui dénotent d’une grande marque de considération des autorités ivoiriennes vis-à-vis de son pays.
Pour le Ministre des Eaux et Forêts et l’Ambassadeur du Japon, la question forestière ne se mesure ni par la force, ni par les armes, mais par la proximité avec la population. Il serait donc important d’impliquer davantage les populations villageoises dans la protection de leurs forêts. Il faut exploiter la forêt avec intelligence afin de la préserver pour la génération future.
Le 02 septembre 2011 est la date choisie pour la mise en œuvre effective du démarrage de la coopération bilatérale entre le gouvernement du Japon et du Ministère des Eaux et Forêts à MONOGAGA dans la région de San- Pedro en présence de l’Ambassadeur OKAMURA et du Ministre BOUEKA NABO Clément.
CHEF DU SERVICE COMMUNICATION DU MINEF