Comment opérationnaliser la convention qui lie le secteur privé ivoirien à l’Enseignement technique et la formation professionnelle ? Telle est la problématique autour de laquelle s’est réunie le Ministre de l’Enseignement technique et de la formation professionnelle entouré de ses plus proches collaborateurs et le secteur privé ivoirien représenté par la Confédération Générale des entreprises de Côte d’Ivoire, la CGECI. Ce protocole signé en septembre 2009 se fixe pour objectifs, d’améliorer la qualité de l’enseignement et de la formation, d’assurer l’adéquation entre la formation et les besoins de l’économie nationale , de favoriser l’insertion professionnelle des produits issus de l’enseignement technique et de la formation professionnelle, de renforcer les capacités des formateurs et celles des acteurs du monde professionnel et enfin, de tirer profit de l’expertise du monde professionnel dans l’encadrement des produits de l’enseignement technique et de la formation professionnelle. Plusieurs domaines d’intervention sont ainsi concernés. De la politique générale aux moyens financiers à mettre en œuvre en passant par le management du système, l’ingénierie de formation, la pédagogie et l’insertion professionnelle.
La mise en œuvre effective de ce partenariat nécessite la mise sur pied d’un comité paritaire de suivi composé de l’Etat représenté par le Ministère de l’enseignement Technique et de la Formation professionnelle et du secteur privé. Ce comité aura pour mission de s’assurer de la bonne exécution de la convention de partenariat et proposer s’il y a lieu des textes réglementaires relevant de leurs domaines de compétences. Il pourra par ailleurs donner son avis sur tout texte proposé dans le cadre de sa mission.
Le service communication
La mise en œuvre effective de ce partenariat nécessite la mise sur pied d’un comité paritaire de suivi composé de l’Etat représenté par le Ministère de l’enseignement Technique et de la Formation professionnelle et du secteur privé. Ce comité aura pour mission de s’assurer de la bonne exécution de la convention de partenariat et proposer s’il y a lieu des textes réglementaires relevant de leurs domaines de compétences. Il pourra par ailleurs donner son avis sur tout texte proposé dans le cadre de sa mission.
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