L’adéquation formation-emploi a constitué le point nodal de la rencontre que le patronat a eue avec le ministre de l’enseignement technique et de la Formation professionnelle, Albert Flindé, le mercredi 17 aout dernier, au siège de la Confédération générale des entreprises de Côte d’Ivoire (Cgeci). Il s’agit, plus particulièrement de conduire la réflexion pour que l’enseignement technique ne soit pas considéré comme le rebut de l’enseignement général.
A cet égard des pistes ont été dégagées par le patronat, représenté par le vice-président, Bernard N’doumi. Il s’agit, notamment, de la mise en œuvre de la réforme de l’enseignement technique dont le projet est depuis longtemps dans les tiroirs, de la réforme du Fonds de développement de la formation professionnelle (Fpfp), du renforcement des capacités des ressources humaines, du projet pour l’insertion des jeunes.
L/e ministre a promis d’étudier toutes ces préoccupations et de les prendre en compte dans son programme de travail. «Je suis venu vous dire que le gouvernement compte appuyer le partenariat secteur privé-secteur public. Notre rencontre est importante car l’Etat forme et met sur le marché des cadres que le privé utilise. Il nous faut savoir si la formation vous convient », a dit le ministre Flindé.
Un comité paritaire de 16 membres a été proposé pour mener la réflexion.
J-S L
A cet égard des pistes ont été dégagées par le patronat, représenté par le vice-président, Bernard N’doumi. Il s’agit, notamment, de la mise en œuvre de la réforme de l’enseignement technique dont le projet est depuis longtemps dans les tiroirs, de la réforme du Fonds de développement de la formation professionnelle (Fpfp), du renforcement des capacités des ressources humaines, du projet pour l’insertion des jeunes.
L/e ministre a promis d’étudier toutes ces préoccupations et de les prendre en compte dans son programme de travail. «Je suis venu vous dire que le gouvernement compte appuyer le partenariat secteur privé-secteur public. Notre rencontre est importante car l’Etat forme et met sur le marché des cadres que le privé utilise. Il nous faut savoir si la formation vous convient », a dit le ministre Flindé.
Un comité paritaire de 16 membres a été proposé pour mener la réflexion.
J-S L