Un homme s’en va, un autre arrive. Albert Gérard (Bert) Koenders vient d’être nommé à la tête de la représentation des Nations Unies en Côte d’Ivoire, en remplacement du Sud-Coréen, Young Jin-choï. Né à Arnhem, aux Pays-Bas, le 28 mai 1958, cet ancien homme politique néerlandais a à ses actifs, 25 ans d’expérience dans le domaine des relations internationales et du développement. En tant que représentant du parti travailliste, il a successivement occupé des fonctions politiques au sein de l’appareil gouvernemental et politique néerlandais. Ainsi, du 11 novembre 1997 au 22 février 2007, il a siégé à la chambre des représentants, le parlement néerlandais et, du 22 février 2007 au 23 février 2010, il a été ministre sans portefeuille de la Coopération au développement, l’équivalent du ministre des Affaires étrangères aux Pays-Bas. Ses compétences en relations internationales ne sont plus à démontrer. En effet, sa carrière internationale pour le compte des Nations Unies l’a conduit au Mozambique, en Afrique du Sud et au Mexique, de 1993 à 1994, en tant que conseiller politique à l’Onu. Sur le plan européen, entre 1995 et 1997, Bert Koenders a été l’administrateur principal de la planification des politiques à la direction générale des relations extérieures, de la prévention des conflits, de l’élargissement de l’Union européenne, à la commission européenne, à Bruxelles. Il a également servi à l’Organisation du traité de l’Atlantique-Nord (Otan), comme vice-président de l'assemblée parlementaire de 1998 à novembre 2006. Il y était le président du groupe socialiste.
Sa carrière politique et internationale, le nouveau représentant spécial du Secrétaire général des Nations Unies, Ban Ki-moon, le doit sûrement à ses études universitaires. En effet, M. Koenders s’est spécialisé en relations internationales et en sciences économiques, après l’obtention d’un diplôme avec mentions honorables en sciences politiques et en sciences sociales, en 1983, à l’université libre d’Amsterdam. Ses études supérieures l’ont également conduit à l’université John Hopkins de Bologne en Italie, d’où il est ressorti avec un master en arts. Le remplaçant de W.J.Choï s’est aussi essayé à l’enseignement, notamment à l’université Webster de Leiden, dans son pays en tant que professeur-adjoint. En 2002, il a été invité à l’université Hopkins de Bologne pour enseigner sur la prévention des conflits, la résolution des conflits et la reconstruction post-crise. Comme quoi, les sorties de crise, il en a fait son affaire. Pour tous les services rendus à la nation, il a été fait officier de l'Ordre d'Orange-Nassau, aux Bahamas, le 17 mars 2010.
MAE, avec le Centre de documentation parlementaire (Pdc) de l'Université de Leiden
Sa carrière politique et internationale, le nouveau représentant spécial du Secrétaire général des Nations Unies, Ban Ki-moon, le doit sûrement à ses études universitaires. En effet, M. Koenders s’est spécialisé en relations internationales et en sciences économiques, après l’obtention d’un diplôme avec mentions honorables en sciences politiques et en sciences sociales, en 1983, à l’université libre d’Amsterdam. Ses études supérieures l’ont également conduit à l’université John Hopkins de Bologne en Italie, d’où il est ressorti avec un master en arts. Le remplaçant de W.J.Choï s’est aussi essayé à l’enseignement, notamment à l’université Webster de Leiden, dans son pays en tant que professeur-adjoint. En 2002, il a été invité à l’université Hopkins de Bologne pour enseigner sur la prévention des conflits, la résolution des conflits et la reconstruction post-crise. Comme quoi, les sorties de crise, il en a fait son affaire. Pour tous les services rendus à la nation, il a été fait officier de l'Ordre d'Orange-Nassau, aux Bahamas, le 17 mars 2010.
MAE, avec le Centre de documentation parlementaire (Pdc) de l'Université de Leiden
