Tiburce Koffi l’a dit : « Ce n’est pas difficile de faire mieux Gbagbo. Il suffit de construire une seule université ou un seul hôpital pour faire mieux de l’ancien président ». Le bouillant écrivain n’a pas tort. En moins de 100 jours au pouvoir, Alassane Ouattara investi le 21 mai, a fait mieux que son prédécesseur. Il suffit d’ouvrir les yeux et d’être honnête pour voir que tout bouge dans le pays. Les Ivoiriens et les bulldozers se sont remis au travail. Avec l’assainissement, la ville respire mieux. On réalise effectivement qu’en 10 ans, on n’a fait que danser (du coupé décalé) dans ce pays, pour paraphraser Amadou Soumahoro. Même pour enlever les herbes sur la chaussée, c’était un problème. Cette nègrerie a fait que des arbres ont poussé à un mètre de la route. La voie qui mène à Agboville est un exemple où les herbes géantes et les arbustes ont rétréci la chaussée.
Pour sûr, si Gbagbo remet les pieds à Abidjan, après son séjour Korhogolais, il risque d’être dépaysé. A preuve, Ouattara a effacé les nids de poule et mis fin au désordre que le chef des refondateurs a érigé en système de gouvernement.
TMA
Pour sûr, si Gbagbo remet les pieds à Abidjan, après son séjour Korhogolais, il risque d’être dépaysé. A preuve, Ouattara a effacé les nids de poule et mis fin au désordre que le chef des refondateurs a érigé en système de gouvernement.
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